Bénin: face à la presse, Loth Houénou donne son avis sur les sujets d’actualité

Le Président du Parti PVR , Loth Houénou était face à la presse dans l’après midi de ce mercredi 20 décembre 2017. Il a abordé dans son point de presse les sujets qui alimentent actuellement l’actualité sociopolitique. Il s’est notamment intéressé aux dossiers Laurent Metongnon, révocation du capitaine Patrice Trekpo, Atao Hinnouho, décision de la Cour Constitutionnelle sur le Cos-Lépi.

Sur chacun de ces sujets Loth Houénou a proposé son analyse , qui à chaque fois donne raison au gouvernement. Concernant le dossier Metongnon, Loth Houénou désapprouve ce qu’il appelle,  »les agitations organisées par ses amis d’hier au Tribunal de Cotonou au mépris des textes de la République ». Selon le Président du PVR, cette manifestation n’avait pas sa raison d’être , car le report de l’audience est la conséquence du refus des accusés de voir le juge Rodolphe Azo s’occuper du dossier. Il poursuit en signifiant qu’il ne s’agit nullement d’un acharnement politique de la part du Président Patrice Talon, comme certains tentent de le faire croire. Par rapport à la révocation de Patrice Trekpo, il trouve que le syndicaliste est le propre responsable de son malheur. Pour Loth Houénou , il a choisi de bâillonner sa hiérarchie, il doit donc en s’assumer les conséquences.

En ce qui concerne l’affaire Atao Hinnouho, l’homme s’est confondu en interrogation. Et à l’en croire , la réponse à ces questions aidera les uns et les autres à mieux comprendre le dossier. Il s’est en effet interrogé sur le circuit de transport des médicaments ramassés chez le député, ensuite il s’est demandé si les sociétés citées et qui seraient en partenariat avec Atao Hinnouho, disposent-elles les autorisations nécessaires. Le dernier dossier abordé par l’initiateur du mouvement  »mercredi noir », concerne la décision de la Cour sur la désignation des membres de l’assemblée nationale pour l’installation du Cos-Lépi. Ici, il estime que la Cour Constitutionnelle pouvait se passer de cette décision. Mieux, il trouve le calendrier très chargé du Parlement ne permet pas de répondre à l’injonction de la Cour.

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