Psychologie du Béninois et la baie des cochons

Le Béninois adore exposer ses exploits matérialistes pour impressionner les fragiles d’esprit. Le Béninois est très fier quand ses orgueils sont en dilatation. Il aime mystifier quand il s’engouffre de biens mal acquis. Il devient arrogant, suffisant et très méchant quand la matière a pris suffisamment la place de l’Eternel dans son coeur et sa conscience. Quand il évoque l’Eternel devant les hommes c’est simplement pour ruser et manipuler les naïfs.

Le Béninois et surtout le parvenu vous parlera de ses comptes bancaires exubérants, son tour du monde même s’il est nul en géographie et en culture de développement, des grands hommes du monde qu’il a rencontrés alors qu’il ne s’agit que d’une pâle poignée de main ne traduisant aucune leçon de sagesse assimilée. Il vous parlera aussi de son château qu’il vient de bâtir en se refusant d’ajouter que c’est grâce à l’argent provenant de la sueur des indigents affligés. Il vous parlera avec un orgueil dégoûtant de sa femme, de ses maîtresses et de ses enfants qui sont en vacances à New-York, à Paris… chaque été pour montrer son appartenance à la haute classe bourgeoise dans la baie des cochons, oubliant que c’est par pure politesse que les pauvres évitent de lui envoyer un jet de crachats dans le visage pour l’envoyer paître dans la prairie des égarés imbéciles.

Le Béninois parle des imbécilités des autres pour se donner bonne conscience et de blanc vêtu chaque vendredi, tu le prendrais pour le sain des Saints nouvellement descendus des cieux pour mettre fin à l’exploitation éhontée de l’homme par l’homme. Mais jamais, il n’effleura sa moralité et son éthique quand il parle de ses exploits. Plus menteur, trompeur et méchant que lui, tu n’en trouves nulle part. A cause de ces quelques imbéciles hélas, il suffit de dire que tu viens du Bénin pour qu’on te colle une étiquette des insanités. Il y a de quoi à être vraiment fier d’être un Béninois, seulement ce type de Béninois n’a rien de désirable.

Pourriture puante du parvenu sans pudeur dans une poudrière qui pète les plombs et dont la déflagration n’épargnera personne. Bonne chance dans nos bêtises ambiantes et la célébration de l’horreur!

Avant qu’il ne soit trop tard, Béninois ressaisis-toi.

Simon Narcisse Tomety

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