Dans le cadre du Recensement administratif à vocation d’identification de la population (Ravip), le député Bruno Amoussou s’est fait enrôler la semaine écoulée. Après avoir accompli son geste citoyen, Bruno Amoussou, répondant aux questions des journalistes, a indiqué que le Ravip n’a aucune connotation d’ordre politique.
Au détour d’une réunion à la préfecture d’Aplahoué ce 05 avril 2018, le député Bruno Amoussou s’est fait enrôler dans le cadre du Ravip. « Je suis très heureux de m’être enregistré parce que si je ne le faisais pas, d’abord je serai un mauvais citoyen et en suite, j’aurais pénalisé notre pays de la disponibilité d’un instrument qui permet la planification », a-t-il fait savoir à l’issue de son enrôlement.
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Pour Bruno Amoussou, le Ravip a la particularité d’être un recensement administratif qui n’a aucune connotation d’ordre politique et autres. « Il (le Ravip – ndlr) s’agit de savoir combien nous sommes, où nous sommes, qui nous sommes et à partir de ces données nous puissions planifier notre développement », a expliqué un peu comme pour réfuter les informations qui font croire avec instance que le Ravip serait un instrument politique.
Ancien ministre du plan et du développement, le député Bruno Amoussou reste donc convaincu que la programmation rationnelle de la construction des écoles, des centres de santé, ou des différentes actions sociales, nécessite des données fiables. C’est pourquoi, il a saisi l’occasion pour inviter les populations à se faire impérativement enregistrer avant le 30 avril 2018, date de clôture de la phase d’enrôlement.
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