Bénin : selon Martin Assogba, Sébastien Ajavon s’est déjà maudit avant d’arriver en politique

Le président de l’ong, Martin Assogba s’est prêté aux questions de certains professionnels des médias sur la gestion du régime actuel et sur les difficultés que rencontre Sébastien Ajavon qui pourtant a pesé de son poids dans la balance pour l’avènement du régime de la rupture. Répondant à la question des déboires que subiraient le président Sébastien Ajavon, le président de ALCRER estime que les difficultés que rencontre actuellement le président du patronat du Bénin, le président Sébastien Germain Ajavon sont les conséquences logiques des malédictions qu’il a prononcé lui-même sur sa personne avant de poser ses pieds en politique.

Pour le tonitruant acteur de la société civile, le président  du parti « union sociale libérale » traverse des épreuves sous le régime du président Patrice Talon parce qu’il avait dit des choses qui le rattrapent aujourd’hui.

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« Sébastien Ajavon lui-même avait dit des choses qui le rattrapent peut-être aujourd’hui. Si les gens oublient, je vais le leur rappeler. Vos confrères journalistes ont posé la question un jour à Sébastien Ajavon; on lui a demandé s’il ira à la politique un jour; il a dit: « lui, jamais. Qu’on ne fait que ce qu’on connait et ce qu’on a appris. Donc il s’est déjà maudit en disant que lui n’ira jamais à la politique. Maintenant il y vient; la nature a horreur de ça…Maintenant qu’il est allé dans ce qu’il ne connait pas, il ne peut qu’avoir de problème »  a indiqué le président de l’ONG FONAC.

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A en croire Martin Assogba, le président Sébastien Germain Ajavon ne peut que s’en prendre à lui même face aux déboires qu’il traverse actuellement avec le pouvoir en place. Pour le président de ALCRER, Ajavon aurait tenu compte de la puissance de la parole pour éviter de dire des choses dont les conséquences se révèlent aujourd’hui lourdes à porter.

Le président du Front des organisations nationales de lutte contre la corruption (Fonac) met par ailleurs en garde le président du patronat national contre les liens politiques qu’il est entrain de nouer ; il lui recommande la prudence car la plus grande source de difficultés qui l’attend peut encore venir de là.

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