Coupe du monde 2018 : l’Allemagne, a-t-elle contracté le virus brésilien ?

La génération 2014 de la Nationalmannschaft, a-t-elle tôt pris sa retraite ? Éliminés au premier du mondial 2018 en terre russe, les poulains de Joachim Löw semblent contracter le virus brésilien, celui de ne pas remporter le Mondial après avoir fini vainqueur de la Coupe des Confédérations (Cas du Brésil  entre 2005 et 2014).

Alors vainqueur de la Coupe des Confédérations de la Fifa, le Brésil n’a plus été en finale en Coupe du monde. Dans les coulisses, on l’annonce comme une malédiction, « le vainqueur de cette Coupe ne gagne pas le Mondial« , rappelle un féru du cuir rond. Selon c’est comme une malédiction.

En 2005, le Brésil (champion du Monde en 2002) a remporté la Coupe des Confédérations en terre allemande au détriment de l’Argentine. Un an plus tard lors de la prestigieuse compétition, il s’est arrêté en quart de finale (France 1-0 Brésil).

En 2009 en Afrique du Sud, la Seleçao a réalisé le doublé (3e titre de l’histoire), en 2010, il va terminer le Mondial encore en quart (Pays – Bas 2-1 Brésil). Bien, avant d’accueillir le Mondial 2014, le Brésil s’est offert sa 4e Coupe des Coupe des Confédérations, dont le 3e de suite. La messe du Foot à domicile aura été salée. Ceci avec la cuisante défaite 7-1 en demie finale contre l’Allemagne et la gifle contre les Pays-Bas 3-0 lors du match de classement.

Par ailleurs en 1997, après le premier trophée de la Coupe des Confédération de la Seleçao (Brésil 6-0 Australie), le Mondial 1998 un an plus tard en France a été un échec en finale contre les Bleus (3-0).

Cependant, l’Allemagne vainqueur de la Coupe des Confédérations en 2017 (1er trophée de l’histoire) a elle été stoppé en phase de groupe. Pensez-vous qu’il faut choisir entre cette Coupe et le Mondial ? Un pays pourra t’il vaincre ce signe indien ?

On retient que l’Allemagne n’est pas le seul pays éliminé au premier tour en étant champion une édition plutôt : la France en 2002, l’Italie en 2010, et l’Espagne en 2014 sont passés par cette douloureuse épreuve. Le Brésil, champion du monde 2002 et quart de finaliste en 2006 et le seul pays au XXIe siècle a esquivé cette malédiction.

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