sanctionné par les États Unis et qui brandissent de nouvelles menaces préjudiciables à sa monnaie, l’Iran se défend en s’attaquant à la corruption. Selon L’agence française de presse (AFP), « Beaucoup accusent le retour prévu le 6 août des sanctions américaines, décidé par l’administration de Donald Trump après son retrait d’un accord historique sur le nucléaire iranien. »
L’Iran en redoutant les conséquences économiques des sanctions a choisi comme méthode pour amortir le choc livrer une guerre acharnée contre la corruption et la spéculation et a déjà mis aux arrêts quelques soixante personnes. ces personnes mis aux arrêts entretenaient selon la justice d’Iran des liens incestueux avec le gouvernement, ce qui leurs offrent par exemple la possibilité d’importer illégalement des voitures de luxe. Selon le porte-parole de l’autorité judiciaire Iranien, Gholam Hossein Mohseni-Ejeie « Ils risquent la peine de mort pour « corruption sur Terre », chef d’accusation « le plus grave en Iran. »
Ainsi, selon certains analystes, « L’impact des pressions externes se fait ressentir en raison de la corruption et de la mauvaise gestion de l’économie ».
En effet, « Depuis le début de l’année, le rial a perdu près des deux tiers de sa valeur: le 1er janvier, il suffisait de 42.900 rials pour obtenir un dollar. »
« Le rial a encore divisé mardi face au dollar, perdant 18% de sa valeur en deux jours. Il fallait ainsi 119.000 rials pour obtenir un dollar américain sur le marché parallèle, contre 100.000 dimanche. »
En effet, le pays de l’oncle Sam et ses coalisés les arabes du Golfe, ces derniers en mauvais termes aussi avec l’Iran leur livre une guerre économique. selon l’AFP, « les Emirats arabes unis œuvreraient même à freiner l’offre de dollars en Iran, poussant les prix vers le haut, selon une rumeur circulant chez de nombreux Iraniens. »
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