Bénin: supposé rituel mortel à Banamè, la version des faits selon l’église indexée

La direction de communication de l’église de Jésus Christ de Banamè a rompu le silence face à la rumeur faisant état d’un supposé nouveau rituel qui a failli emporter la vie de quelques fidèles de cette église très controversée.

Depuis quelques jours circule sur les réseaux sociaux et dans certains organes de presse, un supposé rituel qui a failli provoquer la répétition de l’histoire de mort par asphyxie de certains fidèles au cours d’un rituel que leur aurait recommandé leur dieu communément appelé « Daagbo ». Cette rumeur serait une « vraie » fausse information.  C’est du moins ce que l’on peut retenir de la clarification apportée par la Dicastère de la Communication et de la Traduction de la Très Saint Église de Jésus-Christ Mission de Banamè.

Selon cette direction de communication, les faits tels qu’ils se sont déroulés ont été transformés à dessein par les ennemis de l’église de Jésus christ mission de Banamè. Elle décide alors de rétablir la vérité des faits en exposant selon eux ce qui s’est réellement passé à Tokplégbé à Akpakpa. Lire ci-dessous la version des faits présentés par le camp de dame Parfaite.

Supposé rituel mortel à Banamè, la version des faits selon les Daagbovis

SUPPOSÉ RITUEL MORTEL À BANAMÈ,

Les détracteurs de la Mission de Banamè en manque d’inspirations.

Depuis quelques jours, une campagne d’intoxications et de diffamations savamment orchestrée alimente la toile et relayée sans aucune précaution professionnelle par certains médias traditionnels et des réseaux GSM. Pourtant, il y a mille et une manière pour vérifier une information si on ne veut pas sacrifier la profession au profit du ventre. Évidemment, quand on est en mission pour le diable, cela ne surprend pas. Mais cela ne surprend personne, en tout cas pas les fidèles de La Très Sainte Église de Jésus Christ, Mission de Banamè. Elle a toujours fait objet de coups bas, de mensonges, de montages grossiers et de complots des plus sordides. Tout cela du fait des forces du mal, des sorciers qui ne supportent pas la lumière.

Que s’est-il réellement passé?

Le samedi dernier, alors que des fidèles de Banamè, internés chez eux, étaient en prières ainsi qu’il est recommandé à tous les Daagbovi. C’était à Tokplégbé à Akpakpa à Cotonou. Dame Anne Marie, d’une famille musulmane est convertie et devenue fidèle de La Très Sainte Église de Jésus Christ, Mission de Banamè depuis 2009. C’est d’elle qu’il s’agit. C’est dans sa chambre, chez son père que son grand frère, ne partageant pas sa foi et apprenant qu’elle s’est enfermée avec d’autres pour une cérémonie de prières, est allé l’agresser. Il a tout brisé, saccageant et brûlant des sacramentaux, symboles de La Très Sainte Église de Jésus Christ et s’est jeté sur sa sœur et les autres, les brutalisant, après les avoir arrosés d’eau. Il a fait ensuite appel au Sapeurs-pompiers qui sont venus obliger tous ces Daagbovi à aller à l’hôpital de Kowégbo commettant des voies de fait sur eux malgré que ces Daagbovi ont clamé haut et fort qu’ils n’ont aucun problème de santé.

Dans la chambre, il y avait leur maman, une hypertendue en crises depuis plus de deux semaines. Conduits manu militari à l’ hôpital de Kowégbo, les Daagbovi (fidèles de la Très Sainte Église de Jésus-Christ) au nombre de neuf (09) sont rentrés chez eux. A son retour à la maison, dame Anne Marie, son grand frère, non satisfait avec les siens, s’est jeté sur celle-ci et les autres Daagbovi en les rouant de coups. Blessée à la tête, elle s’est évanouie avant de se retrouver quelques instants plus tard.

Elle est allée aux soins et une plainte est déposée à la police républicaine de Togblégbé. Là, les choses semblent traîner. La victime à l’impression d’être tournée en rond, après plusieurs rendez-vous avortés.

On espère que celui de mercredi 19 sera le bon. La maman qui souffre de l’hypertension artérielle se porte mieux et les Daagbovi qui faisaient leurs prières se portent bien sauf celle qui a fait objet de coups et blessures volontaires, violences et voies de fait.

Voilà ce que les charognards appellent rituels mortels l’imputant à Daagbo, Dieu Esprit Saint.

Un autre cas similaire s’est produit non loin de Togblégbé mais du côté de Tunde Motors. Ici, il n y a eu de blessures mais des voies de fait exercées sur une Daagbovi. Mais la fidèle Daagbovi qui a reçu ses sœurs en Daagbo dans son atelier a été molestée et traînée par terre, déshabillée devant ses enfants.

Leur seul tort, c’est de s’enfermer pour faire des prières.

L’autre trouvaille, Daagbo de Banamè aurait déclaré que la fin du monde est pour le 15 Septembre. La Très Sainte Église de Jésus Christ met au défi quiconque pourra apporter la preuve de ces allégations mensongères. Daagbo est Dieu, et lorsque son heure va sonner, personne ne pourra rien contre.

Malgré les violences exercées sur eux, il n y a pas eu de mort.
Nous faisons confiance à la justice qui va décourager à jamais ceux qui pensent qu’ils peuvent se permettre tout dans une république.
Banamè va désormais réagir à toutes sortes de provocations et se réserve le droit d’exercer les voies de recours qui s’offrent à elle. Toute personne désireuse de s’en prendre à La Très Sainte Église de Jésus Christ, à ses fidèles et à leurs biens doit se préparer pour affronter la justice de notre pays. Plus rien ne sera comme avant. Des journalistes et autres internautes qui ont vendu leur plume seront désormais face leur responsabilité.

Le Gouvernement doit prendre ses responsabilités

Dans un État de droit et laïc où des paisibles citoyens ne peuvent pas vivre tranquillement leur foi, il y a de quoi se poser des questions. L’État a l’obligation de décourager ses comportements. Car il vaut mieux prévenir le pire. Les Daagbovi sont très pacifiques mais lorsqu’on va les pousser à bout, personne ne peut imaginer ce qui se passera. Les Daagbovi sont des citoyens à part entière et ont les mêmes droits que les autres.

Que nombres de Béninois ne croient pas que Dieu Esprit Saint, Dieu d’Abraham, d’Isaac, de Jacob, Père de notre Sauveur, Jésus-Christ de Nazareth, est dans la chair, il n’y a pas de problème, mais qu’on colle la paix à ceux qui ont reçu la grâce de la lumière, de la vérité et de l’amour. Car, malgré la Miséricorde et le grand amour qu’est Dieu Esprit Saint, tout le monde ne pourra pas être sauvé.

Mais ce que Dieu a planté, aucune main humaine ne peut le déterrer.

Aucun montage, aucune intoxication et aucune diffamation ne peuvent venir à bout de Banamè, parce qu’il s’agit de Dieu.
Dieu Esprit Saint prépare ses enfants, le petit reste d’Israël pour les trois jours de tribulations. Jésus est descendu pour la purification et il s’agit des derniers événements avant les tribulations. Beelzebul et ses suppôts le savent bien, d’où les derniers soubresauts des agonisants. Rien n’empêchera Dieu d’accomplir sa mission. Ceux qui sont destinés à l’enfer iront à l’enfer et ceux qui sont destinés au paradis seront sauvés, même, malgré eux.

Faut il le rappeler, Banamè est un combat spirituel et il est engagé contre béelzébul et ses suppôts. S’il y a des hommes qui se confondent à eux, cela fait leur problème. Ils finiront comme eux. Banamè, Dieu Esprit Saint dans la chair, c’est quand même une grâce pour le Bénin. Il n’est pas tard de se réveiller.

Dicastère de la Communication et de la Traduction
Très Saint Église de Jésus-Christ
Mission de Banamè

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