Le procès Icc-Services ne laisse apparemment personne indifférente. Il est suivi de près par des citoyens lambda, mais aussi par des autorités. C’est le cas du Directeur général des Infrastructures qui exprime toute son administration sur la manière dont le procès est conduit devant la CRIET.
Jacques Ayadji trouve que le procès Icc-Services n’est nullement un règlement de compte politique comme certains le distillent dans l’opinion. A l’en croire, le procès actuellement en cour devant la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET) doit servir de leçon à tous. C’est pourquoi il soutient la médiatisation voulue par la Cour.
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Par ailleurs, le président du MOELE-Bénin apprécie le professionnalisme avec lequel le procès est conduit. Il reconnait ainsi les mérites du président de la CRIET, Cyriaque Dossa. « Il est d’un calme que j’apprécie et je pense qu’il peut conduire le procès. Quand je suis le procès , je suis séduit », a-t-il confié au micro de radio Océan Fm.
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