Extradé de la Côte – d’Ivoire vers le Bénin dans la soirée du mardi 26 mars 2019, le leader de l’ONG Urgences panafricanistes est resté introuvable depuis plusieurs heures. Pour certaines sources proches de son état-major, il aurait été interpellé par la police béninoise à sa descente de l’avion. Une situation confuse, mais insignifiante pour déstabiliser les militants de l’ONG, selon Kmal Radji.
Les militants de l’ONG Urgences panafricanistes n’ont pas encore des nouvelles de leur leader depuis qu’il est rentré au Bénin. Dans cette situation, le premier responsable de l’ONG au Bénin demande aux militants de rester sereins. « Nous invitons les uns et les autres au calme. Et tous les sympathisants de la lutte pour la souveraineté africaine partout dans le monde à la patience », a-t-il écrit sur sa page facebook.
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Pour Kmal Radji, ce n’est pas le moment d’avoir peur. « Sachez que dans cette lutte, la peur a déjà changé de camp. Nous avons fait le choix difficile contre nos pères qui collaborent avec des gens qui ont installé ESCLAVAGE, COLONISATION, NEOCOLONISATION pour nos pays, nous avons fait le choix de continuer la lutte de nos pères. Cette lutte pour laquelle les GBEHANZIN ont été déporté, réduit au silence. Mort en exil », a-t-il martelé.
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