L’opposition algérienne a dénoncé ce mardi 2 avril 2019 des « forces anti-constitutionnelles qui se seraient emparées du pouvoir.
L’Algérie traverse une période très sensible et la plus cruciale quelle n’aurait jamais eu. Des voix s’élèvent tout azimuts contre un régime autocrate vomi par le peuple. Et dans ce contexte, un terme refait surface « « forces anti-constitutionnelles ».
Le terme avait déjà été utilisé plusieurs fois. Ce mardi 2 avril encore, plusieurs personnalités ont évoqué des « forces anti-constitutionnelles » en Algérie. Ali Benflis, ancien chef du gouvernement, a soutenu dans un entretien à TSA les décisions et le rôle de l’armée, et a affirmé que « des forces extra-constitutionnelles se sont emparées du pouvoir ». Moussa Touati, président du FNA, a aussi appelé à soutenir à la fois l’armée et le mouvement populaire. Selon TSA, Il a demandé à ce que cessent « les agissements de la bande mafieuse qui a usurpé des fonctions constitutionnelles ».
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