Real Madrid: furieux, Florentino Pérez sort de ses gonds, et exige plus de fermeté avec les joueurs

L’ambiance au sein du club merengue est loin d’être agréable. Puisque privée de tout enjeu, la fin de saison du club est marquée par des prestations miséreuses d’une équipe qui a habitué son public au football de haut niveau. Et pour le président du Real Madrid Florentino Pérez, la coupe est pleine.

A l’issue de la défaite face au Rayo Vallecano, bon dernier du classement de Liga avant sa victoire, l’entraîneur madrilène n’avait pas eu d’autre choix que de demander pardon au public merengue. « Il faut demander pardon pour ce qu’on a fait aujourd’hui. Il n’y a rien eu sur le terrain, de la première à la 90e minute. Je suis très en colère. On ne peut pas terminer la saison comme ça, en montrant cette image, moi le premier. On doit respecter le football et ce club. »

Cette situation déplorable a fait sortir Florentino Pérez de ses gonds. C’est du moins ce qu’annonce aujourd’hui le média El Confidencial. En effet, déjà furieux après la déculottée infligée par l’Ajax Amsterdam en huitième de finale de Ligue des Champions (1-4), le patron de la Casa Blanca ne supporte pas de voir ses hommes terminer la saison avec un tel manque d’implication.

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Puisque Pérez croyait que la nomination de Zidane sur le banc, allait redonner un coup de fouet à la fin de l’exercice madrilène. Mais il n’en est rien. Car à onze matches du terme, les Merengues pointaient à douze longueurs du Barça avant son arrivée. Mais aujourd’hui, cet écart est de dix-huit points à trois journées de la fin. Une situation qui frustre déjà Pérez, et à laquelle s’ajoute les privilèges qui sont accordés par Zizou à certains.

Florentino Pérez exige plus de fermeté avec les joueurs

En clair, les jours de repos accordés par le staff technique (celui de ZZ et de ses prédécesseurs) tout au long de la saison passent mal. Après la défaite face au Rayo, les partenaires de Karim Benzema auraient ainsi eu deux jours de repos. Ce qui est inexplicable pour Pérez. Idem en ce qui concerne l’autorisation reçue par Gareth Bale de pouvoir quitter ses coéquipiers après le match du Rayo pour aller prendre un jet privé.

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Un nouvel épisode qui a sans doute fini de sceller le sort du Gallois. Florentino Pérez regrette donc plus que jamais cette gestion qui a installé le groupe dans un confort trop important alors que les premiers signes d’une fin de cycle s’annonçaient. Autant dire qu’un sévère recadrage pourrait arriver.