Bénin: Amnesty International exige la levée de toute surveillance du domicile de Yayi

A travers un communiqué de presse, Amnesty international a déploré tous les actes de violation des droits de l’homme qui ont cours en République du Bénin et demande le retrait des forces de sécurités postées à l’entrée de la rue de l’ancien président Yayi Boni.

La situation socio-politique du Bénin notamment la violation des droits d’aller et de venir de l’ancien président Thomas Boni Yayi a attiré l’attention des responsables de Amnesty International. Dans un communiqué en date de ce jour Mardi 14 mai 2019, ils déplorent les morts et les arrestations arbitraires qui ont actuellement court dans le pays depuis les dernières élections législatives. Selon le communiqué de Amnesty international, la répression a atteint des « proportions inquiétantes au Bénin où quatre personnes ont été tuées lors des manifestations post-électorales, et les familles des victimes peinent à récupérer les corps
du fait d’obstacles administratifs ».

[su_heading size= »17″]A lire aussi : Bénin: les raisons de la mise sous haute surveillance du domicile de Boni Yayi[/su_heading]

Mais l’autre situation qui a attiré l’attention de cet organisme de défense des droits humains est l’assignation à résidence de l’ancien président de la République, le président d’honneur du parti des Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE), Boni Yayi dont le domicile est surveillé par des policiers. cette violation des droits de l’intéressé est désapprouvée par l’organisme international de défense des droits humains. Il demande aux autorités de prendre de toute urgence des mesures pour débarrasser les abords du domicile de l’ancien président Boni Yayi de la présence des forces de l’ordre.

Les commentaires sont fermés.

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. Accepter En savoir plus