CAN 2019 – Insolite: panique générale lors d’un petit déjeuner à la vue de « statuettes »

Un fait insolite s’est produit en Egypte dans le cadre la Coupe d’Afrique des Nations en cours depuis le 21 juin 2019. Lors du petit déjeuner à l’hôtel où séjournent la délégation Ghanéenne, des supporters Bissau-guinéens et des officiels béninois, la présence des « 4 jumeaux statuettes » d’un journaliste béninois a créé la panique dans le rang des supporters Bissau-guinéens.

Habitué à se déplacer avec des statuettes symbolisant des jumeaux déjà décédés (représentation voulue par la tradition béninoise), un journaliste béninois a créé involontairement la panique lors d’un petit déjeuner. « En effet, au petit déjeuner à l’hôtel où se trouvent l’équipe du Ghana, son staff technique, des supporters Bissau-guinéens et un mélange de journalistes et opérateurs du monde béninois du football, les Guinéens n’ont pas pu supporter la présence des jumeaux » a relaté le journaliste  sur sa page facebook.

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Ces derniers ont saisi la CAF qui a trouvé une solution pour qu’un tel incident n’arrive plus. « Ils ont saisi la CAF qui pour accéder à leur requête a demandé aux responsables de l’hôtel de décaler l’heure du petit déjeuner des Béninois de celle des Guinéens », a-t-il ajouté avant de rassurer que son intention n’était pas de faire du tort aux Bissau-guinéens.  » J’avoue que mon intention n’a jamais été de faire peur à quelqu’un. Mais chacun assume sa culture », a-t-il souligné.

Remerciements à la CAF et excuses à ses compatriotes béninois

Le journaliste mis en cause dans cet incident salue la solution pacifique trouvée par la CAF pour gérer la situation. Par ailleurs, il présente des excuses à ses compatriotes béninois qui ne pourront plus manger à l’heure habituelle. « Je remercie les responsables de la CAF qui ont pris de la hauteur. Car interdire aux jumeaux de rester dans cet hôtel sonnerait mon départ volontier de l’Égypte. J’en profite aussi pour présenter mes excuses sincères aux compatriotes qui devront attendre 10 heures d’ici pour prendre le petit déjeuner à cause de mes « caprices » », a-t-il écrit.

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