Sanctions au CAMES: « Je ne commente pas ce qui arrive aux collègues », Joël Aïvo

Le Conseil Africain et Malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES) est au cœur d’une polémique depuis quelques jours. En effet, à l’issue du Conseil des ministres tenu à Cotonou du 28 au 30 mai 2019, des sanctions sont tombées à l’encontre de certains enseignants impliqués dans une affaire de « plagiat et de fausse co-direction ». Interrogé sur la question, le professeur Frédéric Joël Aïvo se refuse de tout commentaire sur le sujet.

Frédéric Joël Aïvo ne veut pas se prononcer sur les sanctions infligées à certains enseignants par le CAMES. Joint par le journal Educ’ Action, l’ancien doyen de la Faculté De Droit Et De Sciences Politiques (FADESP) de l’UAC dit ne pas vouloir se mêler de cette histoire. « Je n’ai pas accès à la source officielle de l’information. Mais je l’apprends comme tout le monde. Je n’ai pas d’avis. Je n’en ai aucun à émettre. Il s’agit de collègues. Je ne commente pas ce qui arrive aux collègues. », a-t-il martelé.

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Selon plusieurs sources concordantes, cinq enseignants dont Dandi Gnamou et Ibrahim Salami. Le Secrétaire général du CAMES qui intervenait sur la chaîne de télévision Sikka Tv, est revenu sur les sanctions infligées aux mis en cause. Dans l’ensemble, il informe que les concernés ont écopé de la plus lourde des sanctions conformément aux faits reprochés à chacun d’eux. « De manière globale, tous ont écopé de la plus grande sanction. Pour certains, c’est la rétrogradation, pour d’autres c’est la non participation aux programmes pendant une durée maximale. », a-t-il précisé.

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