Alerte de l’Ong Bénin Diaspora Assistance sur une école supérieure de funérailles au Bénin

L’organisation non gouvernementale Bénin diaspora assistance tire la sonnette d’alarme sur l’installation d’une école supérieure des funérailles au Bénin. Se posant une kyrielle de questions, l’Ong invite les autorités béninoises à éviter le piège aux populations qui risquent d’être victimes d’une arnaque bien organisée.

Un Béninois de la diaspora, un sous-traitant dans le secteur de pompes funèbres, qui a fermé à cause des soucis au pays d’Emmanuel Macron, veut installer une école supérieure au Bénin. Alors qu’aucune loi ne permet le trafic d’organes humains au Bénin, la structure en gestation est en voie d’ouvrir la boîte à pandore. L’ong s’inquiète des conditions de protection des corps qui seront désormais déposés dans les morgues sans une base législative. L’initiateur d’un tel projet ayant des accointances au palais de la Marina a rassuré ses proches de ce qu’il profitera de ses relations pour obtenir une autorisation d’exercer au Bénin. Et, à un expert de Bénin diaspora assistance de lui poser la question suivante: « Sachant qu’en France il y a des usines de traitement des eaux usées qui récupèrent les poches de sang humain pour des traitements adéquats, au Bénin comment allez-vous gérer le sang des Béninois …?

Très sûr de son réseau, le promoteur de l’école où s’enseignera le traitement des organes humains a répondu qu’il les fera détruire au centre national hospitalier et universitaire (Cnhu). L’école en question, selon l’Ong Bénin diaspora assistance a pour nom la « thanatopraxie ». Elle vise à former les travailleurs des morgues à l’effet de traiter les organes des personnes décédées. Alors que le promoteur n’a pas compétence à former les gens, il jette son dévolu sur des compétences extérieures pour venir donner des cours à Cotonou. Ce qui relèverait de l’utopie, avertit l’Ong. Il faudra rappeler que le promoteur de l’école en question a sollicité l’ouverture de son établissement en Côte d’Ivoire sans succès. L’autoriser à le faire au Bénin alors qu’il n’en est pas qualifié est une ouverture et une caution à l’arnaque, prévient Bénin diaspora assistance.

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