Depuis une semaine, le prince Andrew, fils préféré de la reine Elisabeth II est « paniqué » par le scandale sexuel ressuscité par la mort de Jeffrey Epstein. Mais il pourra compter sur son ex-épouse, banni de la famille royale pour adultère, Sarah Ferguson.
Sarah Ferguson a proposé au prince Andrew, éclaboussé par un scandale d’agression sexuel sur mineure, des vacances romantiques, le jeudi 15 août 2019. Tout a commencé par le décès à polémique, samedi 10 août 2019, du milliardaire Jeffrey Epstein alors qu’il se trouvait dans l’attente de son procès pour proxénétisme sur mineurs. Selon les médias, avant son décès , il a laissé un « petit livre noir » dans lequel serait cité le prince Andrew. Une information démentie par le Palais royal britannique. Comme sa mère, la reine Elisabeth, le prince Andrew peut compter sur son ex-femme.
« La duchesse a insisté pour partir en vacances avec le duc, s’occuper de lui et montrer au monde qu’elle le soutient, assure une source. Le duc a été assez détendu jusqu’à présent, il commence à paniquer tout seul. C’est devenu la plus grande histoire du monde et il est au cœur de la couverture. » rapporte The Sun. A en croire le média, il s’agit d’un week-end romantique pour montrer au monde entier qu’ils font front à deux. Ainsi, le jeudi 15 août, ils se sont envolés pour Malaga retrouver leur refuge espagnol favori. « Elle a l’impression que c’est comme au bon vieux temps où ils affrontaient le monde ensemble. Elle sait qu’elle doit le sortir de toutes les mauvaises passes », poursuit la source. Or, le prince Andrew et son ex Fergie avaient prévu passer la semaine à Balmoral avant de changer leurs plans.
Le prince Andrew est notamment accusé d’attouchements sur mineures selon des documents rendus publics par un tribunal de Manhattan vendredi 9 août. Virginia Giuffre, l’une des accusatrices, a affirmé que Jeffrey Epstein l’aurait même forcée à avoir des relations sexuelles avec le prince Andrew. Elle a assuré avoir couché avec lui en 2015, à New York et à Londres, alors qu’elle n’avait que 17 ans. Le duc d’York a formellement démenti. « Il s’agit d’une procédure qui se tient aux États-Unis, qui ne concerne en rien le duc d’York. Toute évocation d’actes illégaux envers des mineurs est absolument fausse » a réagi le palais de Buckingham.
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