Reine Elisabeth II: son fils préféré, le prince Andrew, accusé d’abus sexuel sur mineures

Le prince Andrew, fils de la reine Elisabeth II est accusé d’agressions sur mineures. Il s’agirait des scandales enterrés depuis 2015 qui ont refait surface.

Le fils préféré de la reine Elisabeth II, le prince Andrew est dans la tourmente. De nouveaux documents rendus publics samedi 10 août 2019 l’accusent d’agression sur mineures. En effet, les faits remontent à 2001 où le troisième enfant de sa Majesté Elizabeth II est cité dans une longue liste de célébrités à être impliquées dans ce scandale notamment le milliardaire (et pédophile) Jeffrey Epstein, arrêté en juillet dernier pour proxénétisme sur mineures et qui s’est suicidé dans sa cellule samedi 10 août 2019.

Le prince Andrew qui serait en couple avec Sarah Ferguson est en vacances à Balmoral, le château écossais où la matriarche a l’habitude de passer ses vacances d’été. Dans une bien mauvaise posture à cause des accusations d’agressions sexuelles sur mineures, le père de Béatrice et Eugénie d’York  peut cependant compter sur le soutien indéfectible de sa mère.

Retour sur les faits…

Jeffrey Epstein, ancien ami du prince, a été accusé d’avoir organisé des relations sexuelles avec des dizaines de mineures dans ses résidences de New York et de Floride, dans les années 2000. En prison, ce milliardaire américain a été retrouvé pendu dans sa cellule d’une prison new-yorkaise samedi 10 août, quelques heures après qu’un tribunal de New York a publié 2 000 pages de documents juridiques précédemment scellés, informe Gala. Selon le média, dans ces documents, le nom du prince Andrew est cité. Ce dernier, aurait ainsi couché avec Virginia Roberts, 17 ans à l’époque et l’une des « esclaves sexuelles » d’Epstein lors d’une soirée organisée par son ami dans son manoir de Manhattan en 2001, et aurait également touché une femme de 21 ans sans son consentement.

Selon le site du Figaro en 2008, le prince Andrew s’est excusé de son amitié avec l’homme d’affaires. Il a également nié toute implication dans le dossier. Malheureusement, cette relation avec ce dernier lui avait déjà coûté son poste de représentant spécial de la Grande-Bretagne pour le commerce extérieur.

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