Bénin: Habib Dakpogan polygame? Constantin Amoussou dévoile tout

Dans une publication sur sa page Facebook mercredi 11 septembre 2019, Constantin Amoussou, écrivain et chroniqueur béninois a levé de façon ironique un coin de voile sur la situation matrimoniale de Habib Dakpogan, lui aussi écrivain et ancien chanteur béninois.

Habib Dakpogan était au centre des discussions, mercredi dernier sur la page Facebook de Constantin Amoussou. Voici le titre de son message : « Habib n’est pas polygame ». « Je pense que tout le monde aurait aimé s’offrir le luxe d’être polygame; mais peu de gens en ont les moyens, et la plupart n’en ont pas les couilles. Quand tu finis de faire un tel constat, tu as envie d’appeler Habib Dakpogan et lui offrir une bière » a expliqué Constantin Amoussou. Pour lui, Les six (06) millions de Béninoises n’envisagent  que de les (les hommes béninois Ndlr)  épouser. A l’en croire, ce n’est pas trop demander, et cela ne veut pas dire que Habib Dakpogan est polygame.

La plume, la musique, le cinéma

« Tout le monde le sait, il navigue entre trois muses: la plume, la musique et le cinéma. Je ne sais pas si vous voyez le rapport! » va t-il essayer de clarifier sans plus de précision en légende d’une photo de Habib Dakpogan. Tenté par les commentaires suscités par cette publication, Habib n’a pas pu s’empêcher de réagir. « Je pense que c’est quatre, il est aussi médecin généraliste…je crois bien hein ! Donc Habib est un polygone lol » a commenté Filandre Sandrin Awoyodo . « Il a géré des dossiers dans des hôpitaux, mais je ne suis pas sûr qu’il ait généralisé sa médecine » a répondu Constantin Amoussou. Et à Habib même de demander: « Constantin Amoussou, je t’ai fait quoi? »

Ce que vous ignorez sur Habib Dakpogan

 

Né à Porto-Novo au Bénin, Habib Dakpogan est ce jeune béninois qui a subi très tôt le choc Rimbaud. Ancien chanteur, il a écrit de la poésie à 15 ans et a publié des extraits dans des revues de poésie françaises. Après son diplôme en gestion hospitalière et un court séjour dans un cabinet d’avocat, il est recruté comme fonctionnaire et envoyé en zone rurale où il subit ses premiers déboires et son contact avec la corruption.

Il publie, en 2006, Partir ou Rester, l’Infamante République, une satire sociopolitique où il dénonce sur fond d’humour, la gabegie dans l’administration publique béninoise. En 2016, Habib sort aux éditions Plurielles de Cotonou Etha Contest qui aborde avec humour les déboires de la société béninoise : alcool, colère du peuple, corruption, concubinage….

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