Carla Bruni: cette « bulle de bonheur » qui lui a permis de faire face aux critiques à l’Elysée (vidéo)

Valérie Trierweiler, journaliste politique française et animatrice de télévision a été Interviewée ce mercredi 18 septembre sur Europe 1. Au micro de sa consœur, elle a expliqué la raison pour laquelle Carla Bruni ne s’est jamais laissée abattre par les critiques à l’Elysée lorsqu’elle était Première dame.

Avant Brigitte Macron qui essuie depuis plusieurs semaines les critiques virulents des politiques brésiliens, toutes les épouses des locataires de l’Elysée ont aussi eu droit à leur lot de remontrances. De la femme de Pompidou à Bernadette Chirac passant Carla Bruni Sarkozy, chacune d’entre elles en a eu pour son compte a rappelé Valérie Trierweiler ce mercredi 18 septembre 2019 sur les ondes d’Europe 1.

Face à ce déferlement de haine, les Premières dames ont toutes trouvé de quoi se rassurer et d’avancer. Ainsi Brigitte Macron a décidé de ne pas se laisser abattre par ses attaques contre sa personne au regard de la réponse servit à un journaliste qui a eu évoqué le sujet lors de sa rentrée scolaire : ‘’Il ne faut pas trop être centrée sur soi parce que sinon on n’avance pas. Et là j’ai envie d’avancer« . L’ex-compagne de François Hollande, Valérie Trierweiler, née Massonneau, journaliste politique française, membre de la rédaction de Paris Match et animatrice de télévision, âgée de 54 ans, a expliqué comment Carla Bruni ne s’est jamais laissé abattre. « Carla attendait sa petite fille Giulia. Elle s’est réfugiée dans une bulle de bonheur, ça l’a beaucoup aidé’’.

Les confidences sur leurs relations

Dans son dernier livre, ‘’On se donne des nouvelles’’, Valérie Trierweiler évoque sa relation avec Carla Bruni, « ni ennemie, ni amie », selon ses mots. « On a une espèce de complicité et de connivence alors qu’on est très différente. On est même sur des positions politiques différentes mais on se comprend. Car on a traversé quelque chose de commun, que Brigitte Macron traverse aujourd’hui. Du coup, il y a cette complicité et Carla est quelqu’un de charmante. »

Parlant de la passation de pouvoir entre Nicolas Sarkozy et François Hollande, la journaliste est revenue sur une séquence éminemment politique durant laquelle le président élu avait choisi de ne raccompagner son prédécesseur.

Mais de leur côté, entre première entrante et sortante c’était autre : « Entre femmes, les choses sont plus simples, il n’y avait pas de question de pouvoir. C’était très différent« , s’est souvenue Valérie Trierweiler sur les ondes d’Europe 1 avant d’expliquer ce qu’elle et Carla Bruni avaient fait à ce moment précis : « Nous avons un peu parlé d’intendance et tout de suite de choses plus intimes. Donc ça a placé la relation sur un autre plan. Elle et moi, on n’avait pas de raison de se combattre, au contraire nous nous sommes soutenues« .