Mort de Jacques Chirac: sa fille adoptive Anh-Dao Traxel totalement rejetée

La mort de l’ancien président français Jacques Chirac a été confirmée jeudi 26 septembre 2019 par la presse française. Mais avant même sa mort, sa fille  adoptive Anh-Dao Traxel avait été rejeté par le clan Chirac. 

Dans les années 70, Jacques Chirac qui était le père de deux filles, Laurence et Claude avait également recueilli une jeune réfugiée vietnamienne, Anh-Dao Traxel. Mais cette belle histoire a pris fin après l’élection présidentielle de 1995. Avec ses enfants, Jacques Chirac a connu aussi bien de déception que de victoire. Si sa fille aînée Laurence est sa plus grande blessure et sa cadette, Claude, fidèle soutien de jusqu’au bout, Anh-Dao Traxel est la troisième fille un peu oubliée. Selon le magazine Gala, Anh-Dao Traxel, 59 ans a appris la mort de Chirac dans la presse.

« Le souvenir d’un « grand monsieur »

On se rappelle qu’elle avait été recueillie par le couple Chirac à l’âge de 21 ans en 1979. « J’ai le sentiment d’avoir été utilisée à des fins électorales. J’étais une image à qui on demandait ensuite de rentrer dans sa boîte ». Avec l’ex président français, Jacques Chirac, Anh-Dao Traxel garde le souvenir d’un « grand monsieur », qui lui tend « un mouchoir de baptiste immaculé ». « Le soir de la victoire de 1995, le président m’a promis de m’emmener avec lui mais son entourage m’a ensuite fait comprendre qu’il n’était plus un chef de clan, mais le président des Français » a t-elle dénoncé à Le Parisien lors de la sortie de son livre Chirac, une famille pas ordinaire : les confidences de leur fille de coeur, en 2014.

« Claude était « la reine des coups tordus »

A en croire ses dires, elle était considérée comme un membre de leur famille seulement quand Bernadette et Claude avaient besoin d’elle pour amadouer la communauté asiatique ou l’opinion publique. Qu’ils vous souvienne, en 2011, elle dénonçait dans une interview à Var-Matin, de ne pas avoir voulu lui tendre la main, en 1979, indiquant que leur cadette Claude était « la reine des coups tordus qui a toujours voulu me donner des leçons de morale ». « L’amour de mon père me manque » clamait-elle lors de ses sorties médiatiques.

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