Violences xénophobes en Afrique du Sud: il faut travailler à l’apaisement, selon Daniel Edah

Depuis le dimanche 1er Septembre 2019, des émeutes xénophobes secouent l’Afrique du Sud. Plusieurs ressortissants de pays africains sont attaqués par certaines populations marquées par les inégalités. Préoccupé par la situation, l’ancien candidat à l’élection présidentielle, Daniel Edah estime que les responsabilités sont partagées et qu’il vaut mieux travailler à l’apaisement sans vouloir condamner.

Des voix s’élèvent depuis un moment à travers le continent africain pour dénoncer la flambée de violences en Afrique du Sud. Une situation qui suscite inquiétude et colère dans plusieurs pays africains qui comptent de nombreux ressortissants dans ce pays. Pour le président du Mouvement pour la Prospérité Solidaire (MPS), Daniel Edah, ce qui se passe en Afrique du sud pose la problématique du défi de l’intégration africaine. Tout en déplorant ces excès de violence, il fait savoir qu’on ne saurait engager la seule responsabilité de l’Afrique du sud.

 » Les attaques dont ont été l’objet les africains étrangers en Afrique du Sud ces derniers jours sont déplorables et inadmissibles mais elles vont au-delà de ce qui est relayé dans les médias et qui fait croire à la seule responsabilité des sud-africains. » indique-t-il. pour lui, les responsabilités sont partagées et « nous devons partout en Afrique, œuvrer pour l’apaisement car, d’où qu’elles viennent, les violences et les représailles ne peuvent garantir le vivre ensemble harmonieux indispensable à la réussite des politiques d’intégration africaine » conclut-il.

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