Le conseiller d’Edouard Philippe a rendu sa démission mercredi 23 octobre de Matignon pour faire face aux accusations à son encontre. Sandro Gozi est soupçonné de travailler avec le premier ministre maltais Joseph Muscat.
L’Italien n’a pas pu résister longtemps face aux accusations dont il est victime. Ancien secrétaire d’Etat italien, Sandro Gozi, conseiller du chef du gouvernement français a annoncé sa démission dénonçant de viles attaques contre sa personne. Celui-ci espère « retrouver la pleine liberté de parole » afin de se défendre et « éviter toute instrumentalisation politique qui pourrait porter préjudice au chef du gouvernement » a-t-il déclaré à l’AFP.
Des médias français ont révélé en début de semaine qu’il officiait toujours avec le Malte. Mardi, le chef du cabinet d’Edouard Philippe l’avait invité à s’expliquer sur sa prétendue collaboration avec le Premier ministre maltais Joseph Muscat. Le chef du gouvernement a quant à lui appeler les fonctionnaires des cabinets ministériels à faire preuve de probité et d’intégrité. Élu aux européennes sous la bannière de La République en Marche, Gozi siégera à Bruxelles après le Brexit.
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