Géraldo Gomez: « Talon est coupable de parjure pour avoir renié sa parole du 20 Mai »

Le dialogue politique convoqué par le président Patrice Talon avec 9 partis politiques est un parjure. C’est du moins ce que pense le responsable chargé des questions stratégiques du parti « Union Sociale libérale », Géraldo Gomez qui rappelle au chef de l’Etat son discours du 20 Mai 2019.

Convoqué un dialogue politique et exclure des partis politiques après avoir tenu un discours tel que celui du 20 Mai 2019 est considéré comme un parjure par le responsable aux questions stratégiques de l’Usl. Se référant à la promesse tenue par le chef de l’Etat lors du message qu’il a adressé à la nation le 20 Mai 2019, Géraldo Gomez affirme que le président de la République n’a pas tenu parole. Selon lui, le « j’inviterai toute la classe politique pour des échanges francs, directs et constructifs » du chef de l’Etat s’est finalement résumé à 9 partis politiques. « Chers amis, la parole est sacrée. Et ne pas respecter la parole dite ou donnée est un parjure d’un point de vue républicain » a-t-il indiqué.

Pire, poursuit-il, c’est « un sacrilège si nous devions explorer d’autres univers qui structurent notre existence« . Pour Géraldo Gomez, la parole du chef de l’Etat n’est plus sacrée depuis qu’il a choisi lui-même de renoncer à sa promesse du 20 Mai dernier en annonçant un dialogue avec 9 partis politiques.

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