Le groupe islamique a revendiqué samedi la responsabilité de l’une des attaques les plus meurtrières de l’année contre l’armée malienne , tuant 53 soldats et un civil à un poste militaire dans le nord du Mali.
« Des soldats du califat ont attaqué une base militaire où des éléments de l’armée malienne apostate étaient stationnés dans le village d’Indelimane », a déclaré le groupe extrémiste dans un communiqué diffusé sur les médias sociaux. La France a déclaré qu’un des soldats au Mali était décédé après que son véhicule a été frappé par un engin explosif improvisé, selon un communiqué de la présidence française.
L’Etat islamique a revendiqué aussi la responsabilité de l’attaque qui a tué samedi le soldat français dans la région rebelle du Mali oriental. Les combattants de l’Etat islamique « ont fait exploser un engin explosif sur un convoi de l’armée française dans la région d’Indelimane », a indiqué sur sa chaîne Telegram, peu après l’annonce de l’attaque de vendredi contre la base de l’armée malienne dans la même région.
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