Laeticia Hallyday en difficultés face à l’énorme dette fiscale de Johnny

Avec un patrimoine estimé à environ 40 millions d’euros, Johnny Hallyday doit quelque 30 millions d’euros au fisc. Une énorme dette que Laeticia va devoir aussi « hériter » et donc rembourser.

Laeticia Hallyday pourrait bien hériter de l’intégralité de la fortune de Johnny, de la totalité de ses dettes aussi. Entre ses droits d’auteur, ses villas, ses motos et ses voitures, Johnny Hallyday était à la tête d’un patrimoine estimé, selon plusieurs médias, à plus de 40 millions d’euros. Sauf que ses dettes sont tout aussi importantes.

Selon une une source proche du dossier à BFMTV, le chanteur devrait pas moins de 30 millions d’euros au fisc français, « une somme susceptible d’évoluer avec les intérêts ». Ses héritiers devront aussi se partager cette dette. Il ne restera donc pas grand chose à David, Laura, Jade et Joy et Laeticia Hallyday. Des dettes qui pourraient bien pousser Laeticia d’une part et les deux premiers enfants du chanteur, David et Laura, d’autre part, à trouver un accord sur le conflit qui les oppose dans la succession de l’Idole des Jeunes, affirme BFMTV.

Il y a quelques semaines, Laeticia Hallyday avait radicalement changé de stratégie dans la bataille juridique qui l’oppose aux aînés du rockeur. « Il est temps aujourd’hui d’éclaircir et d’apaiser, dans un dialogue constructif et serein, les incompréhensions et les querelles qui ont maintenant trop duré », avait déclaré la maman de Jade et Joy. Selon les informations de BFM TV, les avocats des deux partis qui ont repris les négociations il y a quelques semaines vont se revoir dans les prochains jours. Il faut dire que de nouveaux éléments les poussent à discuter rapidement.

Depuis 2007, Johnny Hallyday avait des ennuis avec le fisc français. Le rockeur avait établi sa résidence fiscale en Suisse puis aux États-Unis en 2013, mais il continuait à faire recette en France. Une manœuvre qui permettait au rockeur de se « jouer » d’une disposition du code des impôts français et qui lui évite surtout d’avoir à s’acquitter de ses impôts sur les dividendes perçus puisqu’ils sont envoyés dans un autre pays de l’UE. Mais l’administration fiscale est parvenue en 2010 à voir clair dans cette stratégie pourtant savamment orchestrée.

Les commentaires sont fermés.

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. Accepter En savoir plus