Meghan Markle est la première personne de la famille royale britannique, aussi proche de la reine Elizabeth, à ne pas posséder la citoyenneté britannique. Il lui faudra attendre encore pour pouvoir prétendre à une nouvelle nationalité, son mariage avec le prince Harry.
Le 19 mai 2018, Meghan Markle et le prince Harry se disaient « oui » devant un parterre d’invités triés sur le volet, dans la somptueuse chapelle Saint-Georges à Windsor, au Royaume-Uni. Mais ce n’est pas parce que Meghan Markle est mariée au prince Harry, une sommité de la famille royale, qu’elle bénéficie de passe-droit. La duchesse de Sussex, bien qu’épouse du prince Harry depuis deux ans, n’est toujours pas reconnue comme une britannique à part entière.
En effet, si on ne naît pas britannique ou que l’on ne naît pas dans certaines conditions très précises qui permettraient de demander la citoyenneté britannique (comme par exemple, être né entre 1961 et 1983 d’une mère britannique), il est nécessaire de passer par une procédure de naturalisation. Et Meghan Markle, Américaine de naissance qui a vécu la majeure partie de sa vie sous le soleil de Californie, ne sera pas exemptée de cette procédure.
Selon les médias britanniques, Meghan Markle aurait fait la demande de la citoyenneté britannique en novembre 2017 et attend depuis deux longues années de recevoir sa naturalisation. Selon ces médias, la loi du Royaume dispose que trois ans de mariage sont nécessaires pour devenir une citoyenne britannique. La maman du petit Archie ne bénéficierait pas de traitement de faveur. L’attente devient alors particulièrement longue.
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