La chanteuse Beyoncé évoque ses douloureuses fausses couches

Par Angèle M. ADANLE le 11 Déc 2019 à 00:18

La chanteuse américaine Beyoncé a fait de bouleversantes confidences sur ses fausses couches dans une interview accordée au magazine «ELLE».

Interrogée par le magazine américain « ELLE » , Beyoncé a évoqué les moments douloureux de sa vie de femme par rapport à la maternité. C’est à travers un jeu de question réponse avec ses fans que la chanteuse s’est lâchée pour le numéro de janvier 2020 de la version américaine dudit magazine. Les fans ont en effet, posé à Beyoncé diverses questions via les réseaux sociaux ou par email sur les secrets de sa réussite, sur ses collaborations mode ou bien encore sur ses activités ou plats préférés. «J’ai commencé à chercher un sens plus profond lorsque la vie a commencé à m’enseigner des leçons dont j’ignorais que j’avais besoin. Le succès me semble différent maintenant. J’ai appris que toute douleur et perte sont en fait un cadeau», a répondu Beyoncé à ses fans.

Beyoncé évoques ses fausses couches

La vie de la femme de Jay-Z n’est pas que réussite. Dans son intervention, elle a également fait des révélations sur les fausses couches qu’elle a dû endurer avant de donner naissance à sa fille Blue Ivy en janvier 2012. «Les fausses couches m’ont appris que je devais d’abord me materner avant de pouvoir être la mère de quelqu’un d’autre. Puis j’ai eu Blue, et la recherche d’un but a été plus profonde. Je suis morte et je suis née à nouveau dans cette relation, et ma recherche d’identité est devenue plus forte» va t-elle dévoiler. A l’en croire, avec son mari, elle a vécu l’arrivée de leur fille aînée comme un véritable moment de grâce. «Après avoir eu une grossesse difficile, j’ai pris une année pour me concentrer sur ma santé», a-t-elle ajouté.

Pour finir, Beyoncé citée par paris match a indiqué qu’après avoir vécu ses expériences difficiles de la vie, qu’«être « numéro un » n’était plus (sa) priorité». Depuis lors, sa véritable victoire est de créer de l’art et de laisser une empreinte qui survivra. « C’est gratifiant», a-t-elle conclu.