Au Bénin, les forums de discussions Whatsapp et Facebook concentrent leur attention sur un sujet de scandale s3xuel. Après celui agité en décembre 2019, sans que les vidéos ne soient jamais rendues publiques, une autre affaire de s3xe secoue la toile au Bénin.
Selon les premières informations reçues sur l’affaire, les vidéos, objet de vives discussions montrent des personnes en plein ébats sexuels. Selon une source qui a fait le récit de la scène vue dans les vidéos, « on voit une femme couchée sur un homme, une troisième personne dont les jambes sont allongées ». Cette première scène se déroule dans un décor de chaises en bois, et la femme en action scandait le nom d’une personne, avant d’être rappelée à l’ordre par celui qui s’était donné pour tâche de filmer l’orgie. « Il ne faut plus appeler son nom », a-t-il lancé en langue nationale Fon.
Dans d’autres vidéos que la source avoue n’avoir pas bien visionnées, il a pu voir un matelas de marque bien connue posé au sol sans couverture et un autre matelas avec un drap blanc. Comme ce fut le cas avec le scandale s3xuel dans lequel le nom d’une jeune fille béninoise qui s’est souvent illustrée dans ces genres de scène a été cité, les vidéos qui agitent la toile depuis quelques jours sont introuvables.
Quand le code du numérique limite l’action des utilisateurs des réseaux sociaux
Il y a quelques années, ces vidéos de s3xtape auraient déjà fait le tour des réseaux sociaux. A la place des commentaires auxquels on a actuellement droit, ces vidéos seraient déjà dans presque tous les téléphones portables. Mais aujourd’hui, personne ne veut tomber dans la nasse de l’Office Central de Répression de la Cybercriminalité (OCRC), bras armé de la justice dans l’application de la loi n° 2017-20 portant code du numérique en République du Bénin. Comme quoi si ce code du numérique n’existait pas il fallait le créer même s’il reste largement et alors très largement perfectible.
Les commentaires sont fermés.