La Libye «a besoin de l’ingérence étrangère pour arrêter» avec la violence

A la veille de la conférence de Berlin qui doit discuter de la crise libyenne, l’envoyé spécial des Nations Unies dans le pays, Ghassan Salame, a indiqué que les acteurs internationaux doivent cesser de s’immiscer dans le conflit libyen. Cependant il a cependant, souligné que la résolution de la crise peut passer par une médiation étrangère.

« Toutes les ingérences étrangères peuvent produire un effet d’aspirine à court terme, mais la Libye a besoin de toutes les ingérences étrangères pour s’arrêter. C’est l’un des objectifs de cette conférence », a déclaré Ghassan Salame dans une interview à l’AFP avant le sommet de Berlin.

Les dirigeants de la Russie, de la Turquie et de la France devraient se joindre dimanche à Berlin à des pourparlers tenus sous les auspices des Nations Unies, qui souhaitent retirer l’engagement des puissances étrangères exerçant une influence dans la région de cesser de se mêler du conflit, que ce soit en fournissant armes, troupes ou financement.

Les commentaires sont fermés.

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. Accepter En savoir plus