France: A 49 ans, le député du Vaucluse Jean-François Cesarini est mort

En pleine pandémie du COVID-19, le président de l’Assemblé nationale française, Richard Ferrand, a annoncé la mort du député Jean-François Cesarini, âgé de 49 ans. Ce décès est survenu dimanche 29 mars, et est lié à un cancer diagnostiqué chez ce dernier depuis 2017, et non pour cause du coronavirus.

C’est à travers son compte Twitter que Richard Ferrand, président de l’assemblée nationale française, a annoncé ce dimanche 29 mars 2020, le décès tragique du député, Jean-François Cesarini, à l’âge de 49 ans, des suites d’un cancer. « Avec une grande tristesse, j’apprends le décès de notre collègue Jean-François Césarini. Il luttait depuis de longs mois contre la maladie, toujours en exerçant son mandat et en défendant ses idées. À sa famille, à ses proches et à son équipe, j’adresse mes condoléances émues. »

La République en marche est en deuil et, depuis quelques heures, les messages d’hommage à l’illustre disparu fusent sur la toile. Ainsi Mounir Mahjoubi, député et ancien secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances et du ministre de l’Action et des Comptes publics, chargé du numérique, lui adresse ces quelques mots d’hommage : « Tristesse et pensées sincères à ses proches. Jean-François nous aura tous marqués par ses idées engagées et sa passion. La maladie nous prend un collègue, nous poursuivrons son œuvre ».

Selon les médias, ils sont nombreux à lui témoigner des mots de reconnaissance comme : Muriel Pénicaud, ministre du Travail, le député Maine-et-Loire, Matthieu Orphelin et bien d’autres.

« Profonde tristesse à l’annonce du décès de Jean-François Césarini. Militant associatif et député; son combat, c’était de faire, de l’égalité des chances, une réalité. Ses convictions et son sourire lumineux ne nous quitteront pas. A ses proches, j’exprime mes condoléances émues », a tweeté la ministre du travail.

Dans une missive, à l’adresse du défunt, sur son compte Twitter, dont voici un extrait, Matthieu Orphelin écrit : « Ton cancer, nous en parlions mais tu refusais de te plaindre. Tu avais ton urgence. Tu as voulu agir pour le collectif jusqu’au dernier jour. On s’est marrés bien des fois, quand tu faisais des duplex pour les chaînes d’info depuis le centre anticancer, sans que personne ne soupçonne la perfusion hors cadre »

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