RCI – Présidentielle 2020: les engagements de SORO, s’il était élu

Soro Kigbafori Guillaume, actuellement en exil sur le territoire français, s’était déclaré candidat pour le compte de l’élection présidentielle d’octobre 2020. Déjà, ce dernier? à travers son compte Twitter, prend des engagements s’il venait à être élu Président de la République de la Côte d’Ivoire. Il promet qu’il n’y aura pas de prisonniers politiques ou des détenus pour cause d’opinions sous son mandat.

Après son retour manqué en Côte d’Ivoire, le 23 décembre 2019 2020, le président du GPS, ancien président de l’assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Soro, est en France ou il vit en exil. Il est d’ailleurs visé par un mandat d’arrêt international pour tentative de déstabilisation du pouvoir du président ivoirien, Alassane Ouattara, et détournements de l’argent public. Actuellement, plusieurs de ses compagnons de GPS (Générations et peuples solidaires), dont des Députés, sont également poursuivis et retenus dans les liens de la prévention à Abidjan.

Selon le site d’information Afrique sur 7, depuis son exil, l’ancien chef du Parlement ivoirien estime que les chefs d’accusation retenus contre ses camarades de lutte et lui ne sont que des prétextes pour l’écarter de la course à la présidence. Mais il continue de marteler qu’il sera candidat et est sûr de remporter l’élection présidentielle du 31 octobre 2020 avec le soutien du peuple.

Guillaume Soro prend ses premiers engagements s’il était élu président

Dans un tweet publié dans la nuit de dimanche à lundi 16 mars, le Député de Ferkessédougou réitère cet engagement : « Élu Président de la République, ancien prisonnier d’opinion d’@amnestyintl (1995), je m’engage à ce qu’aucun homme politique n’aille en prison pour ses idées. », rapporte la même source.
Rappelons que c’est depuis lors, où il était président de l’assemblée nationale, qu’il réclamait la libération des pro-Gbagbo et autres prisonniers d’opinion. Ce qui avait poussé le président Alassane Ouattara à prendre une ordonnance en août 2018 pour la libération d’environ 800 personnes poursuivies dans le cadre de la crise post-électorale de 2010-2011 non compris les détenus militaires pour l’heure.

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