Coronavirus : l’apparition de nouveaux symptômes

Le coronavirus continue de se révéler sous d’autres formes. Marine Lorphelin a dévoilé d’autres symptômes sur sa page Instagram ce mercredi 8 avril 2020.

A l’instar de nombreux professionnel de santé, se trouvant sur le terrain et qui tentent de venir à bout du coronavirus, Marine Lorphelin aussi est à pied d’œuvre. Cette dernière qui est une interne en médecine, ne compte plus ses heures, mais se donne à fond dans le centre hospitalier dans lequel elle travaille. L’ancienne reine de beauté continue d’apporter son soutien à sa communauté sur la pandémie à travers ses comptes sociaux, bien qu’elle ne soit pas en première ligne.

En effet, ce mercredi 08 avril 2020, l’ex-Miss France et Médecin, Marine  Lorphelin, a révélé d’autres nouveaux symptômes relatifs à la covid-19. Elle l’a fait savoir à travers la publication d’un article dans sa story Instagram : «Des dermatologues alertent sur des signes cutanés du coronavirus. » Elle poursuit en dévoilant l’image d’une main affichant des rougeurs. « Des malades asymptomatiques présentant ce type de lésions cutanées peuvent être porteurs de la covid-19, donc contagieux », écrit-elle.

Marine Lorphelin révèle l'apparition de nouveaux symptômes relatifs au coronavirus - Instagram, 8 avril 2020

@:Purepeople

Marine Lorphelin révèle l'apparition de nouveaux symptômes relatifs au coronavirus - Instagram, 8 avril 2020

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Par ailleurs, cette information a rapidement été confirmée à travers plusieurs médias. Même à la veille, au cours de l’émission « Le Magazine de la Santé » sur France 5, la vice-présidente du Syndicat National des Dermatologues-vénéréologues, Isabelle Gallay, avait fait part de ses symptômes : « Il s’agit principalement d’acrosyndromes, c’est-à-dire les syndromes des extrémités, qui se caractérisent de la façon suivante: ce sont des plaques et des boutons très rouges sur les extrémités (les orteils, les mains); bien souvent sur les orteils. Ces plaques sont la plupart du temps douloureuses. Elles peuvent entraîner des démangeaisons importantes, des brûlures… »

L’infectiologue Karine Lacomb a de son côté aussi apporté des explications sur ces mêmes résultats lors de son passage sur Europe 1, en disant: « En fait, c’est surtout des signes précoces. On n’en a pas beaucoup vu en hospitalisation. Ce qu’on a vu, c’est plutôt en médecine de ville, avec des patients qui ne vont pas forcément s’aggraver. En tout cas qui n’arrivent pas aux services hospitaliers avec ces signes».

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