Depuis le lundi 6 avril 2020, une sage-femme qui a reçu la visite d’un cas positif revenu d’un pays étranger a été testée, elle aussi, positive. Informées, les autorités sanitaires ont mis en quarantaine 106 agents pour éviter la propagation du virus.
Un prélèvement immédiat a été fait pour s’assurer de la contamination ou non d’autres agents. Selon le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin, en visite à l’Hôpital de la mère et de l’enfant (Homel), un seul cas est testé positif pour l’heure. Il y a donc des raisons de dissiper la peur qui s’est emparée de tous les usagers dudit hôpital.
Cependant, le ministre a insisté que les agents doivent passer les 14 jours de confinement avant de regagner leurs familles et leurs lieux de travail, par ricochet. La raison réside en ce que le virus se manifeste parfois au bout de quatorze jours. Il faut donc un second prélèvement à la fin de la quarantaine pour s’assurer qu’il n’y ait plus de nouveaux cas avant de libérer les agents de santé en question.
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