Prince Harry : par amour pour Meghan, il est prêt à renoncer à une tradition royale

Le docteur Jane Goodall, qui avait rencontré les Sussex l’été dernier à Frogmore Cottage, a fait quelques révélations au cours d’une interview accordée à Radio Times. Elle s’est plus focalisée sur le prince Harry, qui, d’ici peu, pourrait bien mettre un trait sur une tradition royale.

Dans leur maison de Frogmore Cottage, le prince Harry et son épouse, Meghan Markle, avaient reçu la visite de l’anthropologue Jane Goodall en été 2019, quand ils vivaient encore sur le sol britannique. Ce bon moment de partage et d’échange a permis au Docteur de parler en toute intimité avec le prince Harry.

Reçue donc sur Radio Times, ce fut une occasion pour Jane Goodall de faire des révélations lorsqu’elle fut interrogée sur le couple. Elle annonçait que le prince Harry pourrait abandonner la chasse, et pour cause, sa dulcinée avait un dégoût pour cette tradition. « Meghan n’aime pas ça », aurait-elle souligné, selon des propos rapportés par The Mirror et relayés par Gala.

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Une petite révélation qui viendrait encore faire déborder le vase au sein de la cour royale. Cependant, bien que Meghan Markle n’ait jamais caché qu’elle est une fanatique défenseur de la cause animale, la chasse est une tradition chez les Windsor. Et chaque année, toute la famille royale, y compris la Reine Elizabeth II, les princes William et Harry, prend part à de longues parties de chasses sur leurs terres de Balmoral en Ecosse. Il faut noter que la maman du petit Archie, qui était présente sur ces lieux l’été dernier, avait poussé un ouf de soulagement au moment où elle a appris que la chasse aux tétras avait été annulée à cause de l’extinction de l’espèce au grand dam de la reine.

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Par ailleurs, le Prince Harry et Meghan Markle, qui sont éloignés de la cour royale, vivent désormais sur la terre de Los Angeles et tournent le dos à petit feu à la couronne britannique et ses traditions. Et le prince Harry, vivant désormais sur les terres de sa femme, va devoir se réinventer. Selon Jane Goodall, ce serait une situation certainement « difficile à vivre » pour le petit-fils de la Reine Elizabeth II.