Ce dimanche 19 juillet 2020, le corps sans vie d’un élève, candidat au baccalauréat, a été retrouvé à Obafèmi, dans la commune de Kétou. Selon les premières informations, la victime se serait donnée la mort par pendaison.
Le CEG 1 Kétou est frappé par la mort, la veille du lancement du baccalauréat, session 2020. Selon le quotidien Le Potentiel, un élève dudit CEG se serait donné la mort. Agé de 18 ans, la victime faisait partie des 95 404 candidats attendus, ce lundi, dans les centres de composition.
Aux dernières nouvelles, une enquête est en cours pour éclairer l’opinion sur ce qui s’est réellement passé. Ce drame est un double événement malheureux pour la famille éplorée: en plus de perdre leur enfant, tous les espoirs portés sur ce dernier sont ainsi partis en fumée.
Un fait mystique?
Au Bénin, comme partout ailleurs, c’est une grande joie pour les parents de voir leurs enfants franchir le cap du baccalauréat, le premier diplôme universitaire. Des investissement, même jusqu’au dernier centime, sont nécessaires pour garantir ce diplôme à leur progéniture. Mais parfois, certains événement surviennent et bouleversent tout. Quand cela arrive, l’hypothèse de la sorcellerie est la plus prisée.
Si les premières informations, parlant d’un suicide, se confirment dans le cas de cet élève, il ne serait pas étonnant de voir des gens évoquer une conséquence de la méchanceté, ayant conduit à la sorcellerie.
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