Bénin : le journaliste Wilfried Codo de TV5 Monde interpellé et conduit au tribunal de Cotonou

Dans la matinée de ce mardi 23 janvier 2018, deux journalistes de TV5 Monde ont été séquestrés au Collège Océan à Cotonou. L’information a été publiée sur la page facebook de la journaliste Emmanuelle Sodji de TV5 Monde. A en croire ses explications, ils ont été attaqués et séquestrés alors qu’ils faisaient un tournage sur la grève déclenchée contre le gouvernement par les centrales et confédérations syndicales.

« Mon assistant Codo Wilfrid est séquestré au sein du Collège Océan à Cotonou .Nous étions tous les deux en train de filmer le suivi de la grève dans les établissements publics quand nous avons été pris à parti par le personnel non gréviste » a expliqué la journaliste Emmanuelle Sodji sur sa page Facebook.

Selon sa publication relayé sur les réseaux sociaux, après 30 minutes, elle a pu réussir à s’échapper à la vigilance de leurs gardiens, le personnel administratif qui ne souhaite pas que l’image de classes vides soient diffusées. « Mon assistant est toujours à l’intérieur, séquestré » a t-elle dénoncé.

Aux dernières nouvelles, le journaliste Wilfried Codo assistant de Emmanuelle Sodji tous deux journaliste de TV5 Monde a été emmené au Commissariat de Fidjrossè avant d’être conduit au tribunal de première instance de Cotonou.

Affaire à suivre…

Bonjour chers lecteurs! Je suis Angèle M. ADANLE, Journaliste d'investigation multimédia, reporter d'images. Je suis très passionnée par l'écriture , la musique , les questions "people" (même les plus obscures). J'aime les promenades, la lecture, les voyages et le sport. Ma devise: "Le suprême degré de la sagesse est d'avoir des rêves suffisamment grands, pour ne pas les perdre de vue pendant qu'on les poursuit".

3 comments

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Lareine dujardin

À entendre ça le Bénin fait peut.

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Ignace DJENONTIN

Arrêtons cette vilainie journalistique . Si après tout ce que dame Sodji a dit d’impropre et de mensonge sur le vidomègon ( qui est avant tout un système d’entraide des parents et des pauvres), on ne l’a pas empêché de rentrer (ou de rester ) au Bénin, encore moins se rendre dans une école dans une atmosphère de grêve, la question serait au niveau de la déontologie dans l’exercice du métier.
Cherchons d’autre scoops à l’avantage de la population qui ne cherche qu’à mieux se porter: manger, se soigner , se vêtir, avoir accès à une instruction minimale, etc.

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    Ken

    Merci mon frère. Les apatrides qui ne manquent aucune occasion pour jeter de discrédit sur la nation croyant faire du tort à Talon