« Drake m’a forcée à faire du s3xe oral »: Laquana Morris dévoile les détails de son agression

L’affaire dans laquelle Drake a été accusé de viol date de juin 2017, mais c’est la plainte du mannequin Laquana Morris contre son propre avocat, Alex Cabereiras, qui révèle aujourd’hui des détails précis de l’agression supposée et de l’accord financier passé.

Le 19 juin 2019, le site américain « The Blast » dévoilait les documents de la plainte remplie par Laquana Morris, qui accuse Drake d’agression s3xuelle. Une enquête avait déjà été ouverte concernant cette affaire, classée sans suite faute de preuves. En 2017, une femme accusait Drake d’agression s3xuelle. Faute de preuves, l’affaire avait été classée sans suite. Cela aurait pu s’arrêter là, mais Laquanda Morris affirmait en plus qu’elle était enceinte de son enfant. L’artiste avait alors admis avoir passé une « nuit blanche » en compagnie de la jeune femme et avait refusé de passer un test de paternité. Il avait alors décidé de poursuivre son ancienne conquête en justice pour diffamation.

En novembre 2018, un accord avait été trouvé entre les deux parties, le rappeur lui ayant versé 350 000 dollars. Mécontente de l’accord trouvé avec les représentants de Drake, Laquanda Morris a récemment porté plainte contre ses propres avocats.

«  J’ai signé une entente avec Alexander Cabereiras (un représentant de Drake, NdlR.) le 23 janvier 2018″ , peut-on lire sur la déposition de plainte de Laquanda Morris – qui avait accusé le rappeur d’agression sexuelle en 2017 – consultée par le site The Blast. Je lui ai expliqué que j’avais été agressée sexuellement par le rappeur Drake, que Drake m’avait forcée à pratiquer du sexe oral. C’était inhabituel, puisque c’était plus du fétichisme. Il m’a demandé de cracher dans un verre doseur jusqu’à ce qu’il me dise stop. Après, il a versé le crachat sur mon visage et me répétait : ‘Je veux voir ton visage souillé’. »

« Drake affirme qu’elle a d’abord cherché à lui soutirer de l’argent pour son bébé présumé et qu’il assumerait l’entière responsabilité si l’enfant était le sien », conclut le site américain, qui a donc pu consulter les documents remplis par la supposée victime, ce 19 juin 2019. L’enquête semble donc rouverte.