Bénin – Asphaltage à Cotonou: y a-t-il eu une vraie étude préalable ?

Par endroits dans la ville de Cotonou où les travaux d’asphaltage sont en cours, on constate que les pavés précédemment posés sont enlevés.  Des remarques qui suscitent chez l’ancien ministre Sylvain Akindès, des questions sur la réalisation des études préalables avant le démarrage desdits travaux. 

Le gouvernement du président Patrice Talon pour régler le problème de voies et permettre la fluidité de la circulation, a entrepris d’asphalter plusieurs voies dans les principales villes du pays. Par endroits à Cotonou, plusieurs voies sont en chantier. Mais curieusement à certains endroits, des pavés déjà posés sont encore enlevés et ranger le long des voies. Une remarque que l’ancien ministre Sylvain Akindes a faite et qui l’amène à s’interroger sur l’existence d’une étude préalable et fiable avant le démarrage des travaux. « Nous avons constaté qu’à certains endroits, la majorité, les pavés de « l’asphaltage» avaient été enlevés. Serait-ce par des vandales ou par les entreprises elles-mêmes? » s’est-il interrogé.

Mais la minutie avec laquelle ces pavés sont rangés, lui fait penser que la thèse de l’enlèvement par les entreprises est plus plausible. « La manière dont ils étaient bien rangés laisse penser que ce pourrait être ces dernières. Pour quels motifs? A-t-on vraiment fait des études préalables sérieuses avant d’entamer les travaux?  » s’est-il demandé.

Selon l’ancien ministre du général Mathieu Kérékou, un spécialiste qui avait soutenu son mémoire de fin de formation sur l’assainissement dans la ville de Cotonou, aurait laissé entendre qu’il n’y a pas eu d’étude préalable sérieuse avant le lancement du projet, a indiqué le ministre Sylvain Akindes, dans un post sur sa page Facebook. « Un spécialiste qui avait soutenu son mémoire de fin de formation sur l’assainissement dans la ville de Cotonou, nous avait affirmé dès le début que Non. Bien qu’il ait de sérieuses références dans le domaine, nous étions sceptique sur son avis, sans le lui avoir avoué » précise-t-il avant de conclure qu’au regard de ses observations, il serait peut-être utile d’accorder plus d’importance à l’avis de ce spécialiste.

4 comments

comments user
vincent

Édouard sacré Édouard quand on n’a plus rien à dire on la f… Je reste éduquer car vous ne faites que manipuler. Vous n’avez plus de limite dans ça. C’est vraiment dommage je me pose la question si vous aimez votre pays où vous faites tout pour le détruire. Moi je pense que vous êtes le diable incarné.
Je vous dirai toujours la vérité si vous n’êtes pas content bloqué mes messages si vous voulez mais la je vous traite d’anti démocrate. Car ce que vous nous racontez la c’est vrai torchon

comments user
ZATIN

« Un spécialiste qui venait de soutenir un mémoire »??? Quelqu’un qui vient de soutenir un mémoire (même pas une thèse ) qui s’érige en spécialiste. Quelqu’un qui soutient un mémoire est au maximum auniveau maîtrise ou master……. Et on appelle ça spécialiste??? Ce vieux a de sérieux problèmes. Il est aveuglé par la haine au vu de la réussite flamboyante des actions de Talon qu’il ne porte pas dans son coeur. Ces Lgueurs qui ont saboté l’économie de notre pays, notamment Akindès, doivent se taire à jamais… Vieux grigou

comments user
DODJIVI

Ce vieux Akindès qui bave de haine contre Talon doit savoir que cette fois-ci, il y a des sociétés de contrôle qui peuvent à tout moment demander la reprise de tels ou tels aspects en cours de travaux.
S’il continue dans cet aveuglement, nous allons lui manquer de respect

comments user
Kotche Christel

C’est Pitoyable et à la limite Honteux. Est ce le fait de déposer les pavés posées insinue déjà la thèse d’une mauvaise étude des travaux !?
Quelqu’un qui vient de soutenir un mémoire sur l assainissement est il déjà une bible pour qu’on y accorde de crédibilisé au point d en publier dans un journal…
Ce qui est sûr cet article ne fait que nous montrer la qualité professionnelle de son auteur. Wep.. vraiment ça Montre une fois la mauvaise foi et la mauvaise pertinence de ce que les gens veulent nous faire lire.
L’article aurait été plus riche si l auteur ou le journal se rapprochait des acteurs du chantier pour nous apporter la vrai version des faits…