Madonna furieuse, s’estime « violée » par le « New York Times »
La chanteuse assure que le papier que lui consacre le magazine est « une preuve supplémentaire que le ‘New York Times’ est l’un des pères fondateurs du patriarcat ».
Madonna est ravie des clichés que le photographe JR a pris d’elle pour illustrer un article paru dans le New York Times mercredi. En revanche elle n’est pas du tout satisfaite de l’article. La chanteuse l’a expliqué dans un message publié ce jeudi sur Instagram. “Dire que je suis déçue par l’article serait un euphémisme”, commence-t-elle.
La pop star qui a survécu à toutes les modes estime que l’on ne peut “soigner cette société et son éternel besoin de diminuer, dénigrer et dégrader ce qu’elle sait être bon. Spécialement les femmes indépendantes.”
Elle regrette ainsi que la journaliste à qui elle a donné accès “à un monde que peu ont l’occasion de voir”, ait choisi de se concentrer sur “des détails triviaux et superficiels”, et fasse des “commentaires sans fin” sur son âge, “ce qui n’aurait jamais été mentionné si j’avais été un homme”, ajoute-t-elle, très remontée.
« MORT AU PATRIARCAT »
« Je suis désolée d’avoir passé cinq minutes avec elle. Je me sens violée. Et oui, j’ai le droit d’utiliser cette analogie puisque j’ai été violée à l’âge de 19 ans« , continue l’artiste. Pour Madonna, cet article est « une preuve supplémentaire que le ‘New York Times’ est l’un des pères fondateurs du patriarcat« . « Et je dis MORT AU PATRIARCAT, tissé profondément dans la fabrique de la société. Je ne cesserai jamais de me battre pour l’éradiquer« , conclut Madonna, incluant un cœur brisé à son message.
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