DJ Arafat: plus d’un an après sa mort, Molare révèle les dessous de leur discorde

Avant sa mort, DJ Arafat n’était pas en odeur de sainteté avec Molare. Plus d’un an après le décès tragique du Yorobo, Molare s’est confié sur sa relation avec ce dernier.

Au lendemain de la 5ème édition des Prumuds, le promoteur de l’événement, Molare, a été reçu sur Life TV pour faire le point de cette grande soirée qui récompense les acteurs du showbiz. A l’occasion, il n’a pas pu s’empêcher d’évoquer sa relation très mouvementée avec le Daishikan.

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Molare a confié avoir été  «un bon conseiller» pour Le Commandant Zabra. A l’en croire, l’idée n’était pas de faire la guerre à Arafat mais de le récadrer afin qu’il adopte une conduite exemplaire. Mais visiblement, reconnait-il, les chinois n’ont pas compris sa stratégie pour ramener leur idole sur le droit chemin.

Les clarifications de Molare…

La main sur le cœur, Molare a confié n’avoir jamais voulu du mal à DJ Arafat. «Je n’ai jamais fauté vis-à-vis de mon jeune frère défunt Arafat. J’ai été plutôt un bon conseiller pour lui. Si cela n’avait pas été le cas, je ne serais pas en de bons termes avec sa mère Tina et même sa compagne Carmen. Je n’ai jamais fermé Arafat », a rassuré Molare, qui confie a voir offert la sono du tout dernier concert de DJ Arafat.

« C’est pour le bien de Arafat lui-même que j’étais fâché avec lui. Je n’appréciais pas ses directs dans lesquels il proférait des injures. Lors de ses obsèques, les gens pensaient que je voulais m’accaparer l’organisation des funérailles. Pour cela, j’ai été traité de tous les noms d’oiseaux », se désole l’artiste.

Toutefois, Molare pense qu’on ne peut pas empêcher certaines personnes de salir d’autres. « Cela est parti du fait que le Premier ministre actuel m’a remis publiquement une enveloppe pour gérer dans l’immédiat certaines choses afférentes au décès », a-t-il expliqué.

Il ajoute: « Alors, les commentaires sont allés dans tous les sens. Parce que certains pensaient que j’étais un obstacle à ce qu’ils pensaient avoir comme gain pendant les obsèques de Arafat».

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