Bénin: l’appel du cœur de Joel Aïvo à Djogbénou, Vlavonou et Tiando

L’agrégé de droit et potentiel candidat à l’élection présidentielle de 2021 n’est pas content des responsables des institutions de la République. Il l’a encore exprimé ce samedi 7 Novembre à Porto-Novo où la police a empêché sa rencontre avec la population.

Une rencontre prévue le samedi 7 Novembre 2020 par l’agrégé de droit, le professeur Joël Aïvo, avec la population de la cité des « aïnonvi » a été empêché par les éléments de la police républicaine, sur instruction de l’autorité municipale.

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Cette attitude de la police républicaine dans un Etat démocratique n’a pas été du goût du constitutionnaliste, qui a exprimé son mécontentement et interpellé les responsables des institutions de la République, afin qu’ils jouent en toute conscience leur mission républicaine.

« Je voudrais dire au président de la République, au président de l’assemblée nationale, avec le président de la cour constitutionnelle, le président de la Cena, je voudrais leur dire que le pays qu’ils ont en main aujourd’hui est un vieux pays. Avant eux, les gens ont exercé les mêmes responsabilités et ont veillé à ce que notre pays reste un pays de paix et de liberté« 

Joël Aïvo

Pour le professeur Joël Aïvo, les nouveaux dirigeants du Bénin doivent avoir à cœur de transmettre le pays à la génération suivante, à leurs enfants, tel qu’ils l’ont reçu dans la paix.

Il invite ces responsables d’institution à se ressaisir, car, affirme-t-il, la voie qu’ils ont prise « ne mène que dans le mur ». Je veux que, poursuit-il, quand ils prennent leurs décisions, ils se demandent quel pays ils entendent laisser à la génération future.

A en croire Joël Aïvo, les dirigeants du régime actuel ont hérité d’un Bénin démocratique, d’un pays de paix, de liberté et de cohésion, et doivent songer également à laisser le pays dans cet état.

2 comments

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Le Jeune Democrate Objectif

Ce soit disant constitionnaliste , réagit comme s’il n’a pas mis à l’école car sa réaction est enfantine, ce qui est marrant dans ces propos, il a dit je cite : Avant eux les gens ont exercé les mêmes responsabilités et ont veillé à ce que notre pays reste un pays de paix et de liberté. C’est vrai les gens ont exercé les mêmes responsabilités mais comment etait notre democratie dans un passé recent c’est à dire sous le regime defunt.
Si j’ai une bonne memoire en 2016 avant les elections, est-ce que Ajavon n’avait pas été bloqué pour son meeting à la place BIO GUERRA de parakou, le meeting de Tchané n’avait pas été aussi interdit où est donc la liberté dont parle aïvo, Gbadamassi avait-il la paix du cœur lorsqu’il soutenait ajavon, toutes ces sorties etaient sur calcul ou est donc le respect de la democratie ?
La politique rend certaines personnes ivres si non un agrégé de droit devrait faire recour au passé avant de tenir un tel propos qui ne l’honore pas du tout.

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Anonyme

jeune democrate je suis désolé toi tu doit être nul que le dernier de ta classe