Cécilia Attias: cette petite phrase fétiche qui lui a fait quitter Nicolas Sarkozy

Nicolas Sarkozy et Cécilia Attias @ Voici

Cécilia Attias a quitté l’ex président français Nicolas Sarkozy à cause d’une petite phrase prémonitoire.

Cécilia Attias , première épouse de Nicolas Sarkozy fête ses 63 ans ce jeudi 12 novembre 2020. Elle a profité de l’occasion pour revenir sur son parcours, notamment son mariage avec Jacques Martin qu’elle a quitté pour Nicolas Sarkozy. Mais c’est cette même phrase prémonitoire qui lui a fait quitter Nicolas Sarkozy.

Cécilia Attias a épousé à 26 ans, Jacques Martin, qu’elle quitta pour le parrain de sa fille, Nicolas Sarkozy. Selon Gala, Nicolas Sarkozy alors maire de Neuilly-sur-Seine, n’a cessé de la courtiser des années durant. « A l’automne 1988, avec ses deux fillettes sous le bras, elle se sépare donc de l’animateur de L’Ecole des fans après quatre ans d’union« , rappelle le média.

« Je ne suis plus heureuse, je m’en vais. »

Comme pour rendre l’information publique, elle déclare: « Je ne suis plus heureuse, je m’en vais. ». Mais cette phrase prémonitoire, va la suivre 20 ans plus tard. Mariée plus tard à Nicolas Sarkozy avec qui elle a eu un enfant Louis, Cécilia Attias était très présente dans la carrière de son époux.

Cécilia Attias a même franchi avec Nicolas Sarkozy  » l’ultime palier : la présidence de la République en 2007″. Mais c’était trop tard car elle avait déjà pris ses distances avec son époux. La raison: depuis l’été 2005 au printemps 2006, elle vit avec le publicitaire Richard Attias à New York, avant de revenir à Paris. Mieux, elle n’était pas interessée par la fonction de première dame.

Nicolas m’avait en quelque sorte oubliée

« Je ne me vois pas en First Lady. Cela me rase. Je ne suis pas politiquement correcte. Je me balade en jean, en treillis ou en santiags. Je ne rentre pas dans ce monde », avait-elle clarifié en 2005 à Télé Star.

Le couple a donc divorcé en octobre 2007. Cécilia Attias épousa l’année suivante, Richard Attias à New York. « Au fil des années, parce que j’étais toujours là, Nicolas m’avait en quelque sorte oubliée. Il me voulait à ses côtés alors que, d’une certaine manière, lui n’était plus aux miens. » peut-on lire dans un extrait repris par Robert Schneider dans son livre, Premières dames.

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Anonyme

femme facille, materialliste, irresponsable,( pute).