Diplomatie : L’ancien ambassadeur Clément Kiki bientôt devant les tribunaux canadiens
La diplomatie béninoise s’est à nouveau retrouvée dans de beaux draps laissant une mauvaise image sur le plan international plus précisément à Ottawa, au Canada.
Après la raclée qu’avait subie le pays que préside Patrice Talon avec la diplomatie française n’ayant pas permis la rencontre entre les deux Chefs d’Etat, Français et béninois, le Bénin s’illustre, mais cette fois-ci, dans une affaire de sexe.
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Nommé ambassadeur du Bénin près du Canada et siégeant à Ottawa, le désormais représentant diplomatique de l’Etat béninois, Clément Noukpo Kiki devrait, dans les jours à venir, répondre devant les tribunaux canadiens pour harcèlement sur l’une de ses employées au sein de l’ambassade.
Plusieurs fois mis en garde par les autorités canadiennes, l’ambassadeur Clément a persisté dans son œuvre en décidant de vider sa libido peu importe le prix.
Mais finalement, l’affaire a eu raison de lui et a obligé les collaborateurs de Justin Trudeau, premier ministre canadien, à l’expulser du territoire et à le déclarer persona non grata sur leur sol.
Mais néanmoins, Clément Kiki forcé de retourner dans son pays, devra répondre de ses actes devant les tribunaux canadiens les jours à venir étant donné que les Canadiens portent une attention particulière à tout ce qui a rapport avec la gent féminine.
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Il est à rappeler que le désormais ancien ambassadeur Clément Noukpo Kiki a été nommé par le Président Talon sur la liste des personnes non diplomates. Avant cette nomination, il était directeur d’un collège d’enseignement général (CEG) dans la commune d’Adja Ouèrè, département du plateau et un membre de la belle-famille du Président Talon.
Une affaire de mœurs donc qui ternit malheureusement l’image diplomatique du Bénin sur l’échiquier international.
L’auteur de l’article ne connaît pas les lois canadiennes. Au Canada, quand on engrosse une mineure, on n’a pas le temps de prendre un avion pour rentrer chez soi. C’est la prison directe même si on est Ambassadeur. Je ne suis pas pro Talon. Mais là les Béninois ont porté loin leur méchanceté. Il se fait que malheureusement, la presse de mon pays écrit n’importe quoi. La presse ne réfléchit plus. La moindre des choses c’est de recouper vos sources d’informations. Ne fût-ce qu’essayer de joindre l’intéressé. Vous relayez ce qu’une partie vous ventile.
Moi les informations en ma possession sont tout autres que ce qu’on agite dans la presse pour nuire à un individu. On a vu des gens nommés ambassadeurs dans ce pays qui étaient instituteurs au primaire ou commerçants. Tout simplement parce qu’on n’aime pas Talon et tou simplement parce que certainement des gens ne digèrent pas qu’on nomme un nom diplomate à Ottawa qui est quand même un poste que beaucoup de diplomates convoitent.
Le milieu de la diplomatie est fait de mafia et de peaux de banane. Et si à cela s’ajoute la béninoiserie, vous comprendrez pourquoi notre beau pays est derrière et pauvre. Le béninois est mauvais. C’est agbadé thché jin na bi. Où c’est moi qui ai le poste ou c’est le déluge. Il faut par tous les moyens abattre celui qui est là. C’est ça qui se joue quand je recoupe mes informations. Dommage que beaucoup de personnes de j’admire tombent dans ce piège d’intoxication mafieuse.
Soit. Mais toujours est il qu’il semble y avoir eu un incident qui aurait entraîné le retour de l’intéressé au bercail
Vous qui semblez être dans le secret des dieux, dites nous ce qui s’est vraiment passé car comme on le dit, il n’y a pas de fumée sans feu.