Gabon : Jean Ping convoite toujours la place de Bongo

Malheureux de la présidentielle d’août 2016 du Gabon, Jean Ping n’a toujours pas digéré cette défaite face à l’actuel chef de l’État Ali Bongo. Samedi, il a appelé les gabonais à sortir dans les rues pour manifester et réclamer la démission du président de la république.

Un an après la tenue de la présidentielle, le président de la Coalition pour la nouvelle République (CNR), croit encore en ses chances d’accéder au pouvoir. Il a appelé la population à défendre son vote en lui permettant d’accéder au pouvoir. Pour lui, à l’instar de ses compatriotes qui ont manifesté dans les quatre coins du monde, ses partisans au pays doivent en faire autant.

L’ancien président de la commission de l’Union Africaine (UA) a pris les exemples du Togo et du Zimbabwé pour déclarer que c’est par des manifestations de rue, qu’il pourra être investit président en lieu et place d’Ali Bongo Ondimba.

« Si vous ne faites rien, vous n’aurez rien. Si vous manifestez, si vous bougez, il n’y a aucune raison que le voleur d’élection reste là »

Le Jean Ping, croit toujours à sa supposée victoire lors de la présidentielle d’août 2016 au Gabon. L’opposant gabonais a donc appelé, samedi dernier à son quartier général ses partisans à manifester dans les rues pour son accession à la magistrature suprême.

2 comments

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SERVIR JESUS

Convoite, c’est trop dire. Il revendique simplement sa victoire. Et nous nous battons avec lui. Parce que, avec cette SALLE FAMILLE au pouvoir depuis 50 ans, il n’y a que des élections toujours truquées. Donc, si nous ne faisons rien maintenant, dans 10 ou 15 ans, il va nous imposer son fils, et ce seront encore les mêmes Bongos… C’est INACCEPTABLE TOUT SIMPLEMENT

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Bigdaddy

L’article est nul a chié. Des journalistes qui font des investigations que sur le net et jamais sur terrain en se basant sur des tissus de discours c’est vraiment juste pour alimenter les polémiques et faire connaître ce blog. N’importe quoi comme article ?. Manque dinformations, manque de professionalisme, manque de cohérence. Je ne suis partisan de personne mais quand je vois des supposés journalistes faire de telles analysesalors là les dictateurs ne sont pas les seuls.