Reprise de négociation gouvernement-syndicats: les questions de Wahounwa à Djogbénou

Centrales, confédérations syndicales et gouvernement se retrouvent ce mardi 13 Mars 2018 à la table des négociations après la suspension intervenue la dernière fois pour des raisons de défalcations sur salaire pour faits de grève.

Pour la présidente de « conarab » Thérèse Wahounwa, les conditions ne sont pas requises pour que le gouvernement appelle encore à la table de la négociation les représentants des travailleurs. Et comme pour rafraîchir la mémoire au gouvernement, elle reprécise le contexte actuel dans lequel l’appel à une reprise des négociations est lancé par le gouvernement. Lire ci-dessous la série de questions énumérées par Thèrese Wahounwa.

Déclaration de Thérèse Wahounwa:

Ministres de la ruse,
Vous appelez les travailleurs à la reprise. La grève n’est-elle plus illégale? Les sous défalqués de leurs salaires sont-ils retrocedés? La menace d’abandon de poste à partir du 5 mars ne pèse t-elle plus sur eux? Avez-vous oublié comment le gouvernement et les représentants des travailleurs se sont séparés la dernière fois?
Les SG encore moins les travailleurs ne sont pas à votre merci et ne le seront jamais. Au lieu d’assumer vos responsabilités, vous tentez par la ruse de les présenter comme ceux qui n’ont pas à coeur l’avenir du pays et des apprenants alors que c’est vous et votre président qui ne voulez écouter personne. Vous les appeler à la reprise alors qu’ils vous ont très clairement dit : « pas de reprise des négociations sans la retrocession des sous défalqués de leurs maigres salaires » qui du reste ont été confisqué pendant plus de deux semaines. Est-ce que ce minimum est dificile à comprendre puis à faire?
Le peuple n’est pas dupe, il sait le jeu auquel vous vous adonnez et ne vous pardonnera pas.
Travailleurs, restez souder et dét erminés car votre avenir et celui du pays en dépendent.

Thérèse WAOUNWA

 

 

3 comments

comments user
Yémalin

Elle est syndicat cette agitée là? Le gouvernement lui a envoyé une invitation à la table de négociation? Si vous connaissez ses enfants, dites leur d’encadrer leur mère. Aucune fierté pour un enfant d’avoir une mère si agitée. Elle est de quel syndicat invité par le gouvernement, pour prétendre que les conditions ne sont pas réunies pour une négociation? Pauvre d’elle. Une femme apaise la tension dans la maison, elle ne jette pas l’essence dans le feu

comments user
Ali-dagbe

Chère Mémé, ou placez vous l’intérêt de tous ces petits fils et arrières petits fils? Je ne pense pas que ton « jusqu’au boutisme » est pour
leur garantir un meilleur avenir car ils sont à la lisière d’une année blanche. Ne saviez vous pas qu’une année scolaire a un nombre bien précis de semaines de cours? Aux élections législatives écoulées nous avons souhaité et prié que vous soyez élue pour nous représenter dignement à l’Assemblée nationale. Ne serions nous pas entrain de le regretter maintenant avec vos agissements actuels qui sont à l’antipode du développement que nous souhaitons pour notre cher et beau pays. Quel président fut il du parti pour lequel vous act
ez, accepte que des femmes dans une marche de révolte contre un pouvoir, aille à la présidence? Koï chère Mémé !! Chez vous la sagesse devrait être plus débordante en ce moment car en plus que vous êtes femme, vous êtes mère, mémé, etc.. Vous aviez marqué l’histoire de notre pays, demeurez dans ce registre et veiller à ne pas y sortir par la petite porte.

comments user
Agnidé

Elle est vraiment agité cette maman là quel peuple elle parle c’est enfants seul et sa famille in réfléchir mère comme tes enfants et petits enfants sont dans des privé c’est prq elle parle comme ça talon est pour corriger tout sa le peuple le soutien fort