Bénin – réformes politiques : Franck Kpahossou réaffirme le soutien du BER au Chef de l’Etat

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L’émission Zone Franche de la chaîne de télévision Canal3 a reçu ce dimanche 22 juillet 2018, Franck Kpahossou, rapporteur de la commission Communication de la Coalition Bénin en Route. Ce dernier était en contradiction avec  De-Laure Laurent Faton du parti FCBE sur le thème : « La Jeunesse et les réformes politiques ».

Dans son intervention, Franck Kpahossou est resté collé à la ligne directrice de sa famille politique. En effet, la Coalition Bénin en Route (BER) est l’un des plus grands mouvements politiques de la mouvance. Ainsi, depuis sa création, elle ne cesse d’apporter son soutien au Chef de l’Etat dans toutes ses actions.

En matière de réformes constitutionnelles et politiques, elle ne dérobe pas à la règle. C’est ce qu’il convient de retenir des propos de Franck Kpahossou. A l’en croire, le soutien de la Coalition Bénin en Route aux réformes politiques du président de la République n’est pas le fruit du hasard. Pour lui, les différentes réformes engagées visent le développement du pays sur tous les plans. Mieux, ces réformes constituent une occasion pour la jeunesse de mieux s’affirmer sur le plan politique.

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En ce qui concerne la révision de la constitution qui fait polémiques depuis quelques semaines, Franck Kpahossou apporte l’avis favorable de la coalition. Pour lui, l’opportunité de la révision de la loi fondamentale n’est plus à démontrer. Contrairement à son vis à vis qui pense qu’au vue de sa notoriété, la constitution béninoise n’a nécessairement besoin d’être révisée, le représentant du BER estime qu’il est néanmoins tant que les imperfections de la loi fondamentales soient corrigées. « C’est vrai que notre constitution est adulée, cependant ce n’est pas une raison suffisante pour ne pas corriger ses imperfections et l’améliorer », a-t-il déclaré.

Pour lui, c’est un fait qui devrait venir naturellement de la classe politique et susciter une large adhésion. C’est pourquoi il déplore la grosse polémique et le tapage que cette révision engendre. « La révision de la constitution ne devrait pas être un événement extraordinaire. La France qui est notre référence a révisé 24 fois sa constitution entre 1958 et 2008 », a-t-il fait savoir.