Maroc: le geste galant du Roi Mohamed VI, envers la Reine Dona Letizia (Vidéo)

h c’est un sujet impérissable ! Les belle-mères, c’est une légende. Après le mariage, la femme doit aller vivre chez sa belle-mère, c’est valable encore dans beaucoup d’endroits, ce serait un affront de s’y refuser ; en France ce n’est plus le cas mais autrefois oui. La belle-fille, par nature, est la rivale automatiquement, puisqu’elle doit partager l’amour de son fils et lui se tourne désormais vers sa femme plutôt que sa mère. Elle lui « prend » son fils. Elle ‘est pas assez bien pour lui. Elle ne lui fera jamais des plats aussi bons elle n’égalera jamais son talent… Voilà ce qui est gravé dans la mémoire collective. Selon moi, la raison en est fort simple. Les femmes, dans leur condition pas très réjouisante de femme parfois (dans nombre de pays) n’ont pour seule raison de vivre, que leur enfants. Alors, le jour où ceux-ci leur échappe pour voler de leur propres ailes…vers une autre femme, elles ont du mal à accepter. Et certaines ne l’acceptent pas et font de leur belle-fille un souffre-douleur. La belle-fille, cette intruse, cette pièce rapportée qui ne cuisine même pas bien, qui ne lave pas assez vite le linge,etc… Il existe de nombreux cas malheureux ainsi notamment en Inde. Peut-être que les belle-mères ainsi maltraitantes font subir à leurs belle-filles ce qu’elles ont elle-mêmes vécu ?

La mère aussi dans toute la zone méditerranéenne, est un pilier central. La mamma. C’est ancré dans les traditions, dans l’histoire de beaucoup de sociétés, et beaucoup de personnes encore même en France, ont un vécu difficile avec leur belle-mère.

La grand-mère de mes enfants (d’origine espagnole) faisait de gros efforts pour m’accepter mais au fond, je n’ai jamais été très à l’aise, et parfois ça a « clashé » fort, justement à propos de tâches ménagères….Dès qu’elle le pouvait elle lançait des petites piques bien blessantes… J’en garde un souvenir amer. Et puis son fils et moi nous sommes séparés, maintenant c’est de la haine pure à mon égard.

Maintenant je suis mariée et ma belle-mère est une perle. Elle est algérienne et nous ne parlons pas la même langue (elle : le kabyle et moi : le français, l’anglais, l’espagnol et 20 ou 30 mots de kabyle…). On communique un peu, parfois par personne interposée, mais surtout par des sourires, des regards. Elle est une personne douce, perspicace, intelligente et belle, dans tous les sens du terme. Elle voit son fils heureux quand je suis près de lui, elle le voit désespéré sans goût à rien quand je suis loin de lui. C’est suffisant pour qu’elle comprenne où est le bien de son enfant. Mais, au fond je ne saurai jamais vraiment ce qu’elle pense de moi, même si elle dit à son fils qu’elle m’apprécie beaucoup, c’est sûr elle lui dit ce qu’il veut entendre! Peu importe ce qu’elle pense, l’essentiel est que nous nous respectons et nous savons que nous aimons la même personne, mais pas du même amour, nous voulons son bien à lui, toutes les deux, nous ne souhaitons que son bonheur. Un jour, viendra un autre enfant, qu’elle accueillera dans la joie parce qu’il sera le fruit de notre amour..

Puissiez-vous tous avoir une belle-mère comme la mienne! C’est tout le bonheur que je vous souhaite!

Je crois effectivement que cette question des rapports entre une epouse et sa belle-mere sont un veritable probleme. Je ne suis pas encore marie mais j’ai un fere qui l’est et je conais les emmerdes entre sa femme et mes soeurs par exemple.
Mais pour ma part, j’estime que c’est a l’homme de gere cela. Il ne faut jamais s’attendre a ce qu’une femme fasse passer son bonheur a elle, ses enfants et son mari apres celui de sa belle-mere et de sa belle famille en general.
D’autre part il ne faut pas non plus s’attendre a ce qu’une mere avec la place qu’elle tient dans la societe et la famille algerienne qu’elle ‘lache’ aisement son emprise sur ses enfants. C’est a l’homme d’etre juste, souple parfois et ferme d’autres fois, envers l’une comme envers l’autre et trouver toujours un equilibre entre les deux car il a des obligations envers ses parents autant que sa femme a des droits indiscutables.
J’avoue que ce n’est ni facile ni agreable mais il n’ya rien a faire non plus. Mais j’aimerais aussi dire qu’il ne faut jamais oublier un truc : cette belle-mere la a forcement ete un jour jeune mariee et cette jeune mariee deviendras tot ou tard une belle-mere 😉