Burkina-attaque d’Arbinda: le message d’Antonio Guterres au peuple du Faso

Le secrétaire général de l’ONU a réagi suite à l’attaque terroriste au Burkina Faso à la veille de la fête de Noël. Antonio Guterres a fermement condamné une attaque lâche des sans foi ni lois.

Dans une déclaration rendue publique le 25 décembre, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a condamné l’attaque d’Arbinda qui a coûté la vie à des dizaines de personnes. Le diplomate portugais a présenté ses profondes condoléances aux familles des défunts et souhaité un prompt rétablissement aux blessés. Le patron de l’organisation mondiale a également transmis la solidarité des Nations Unies au peuple burkinabé et réitéré le soutien des Nations Unies au Gouvernement du Burkina Faso et aux autres pays du Sahel dans leurs efforts contre le terrorisme et l’extrémisme violent.

Le mardi, à la vielle du Noel, un détachement militaire a été pris d’assaut par des individus armés. Selon les chiffres communiqués par la hiérarchie militaire, le bilan s’élèverait à 80 morts dans le rang des assaillants et sept côté force de défense et de sécurité. Dans la nuit du 24 au 25 décembre, une dizaine de soldats ont péri dans une nouvelle embuscade dans la province de Soum. Meurtri par ses attaques répétitives, le locataire du palais de Kosyam, Roch Marc Christian Kaboré a décrété deux jours de deuil national. Pays pauvre du sahel, le Burkina Faso est devenu la cible des attaques des groupes armés à l’instar de ses voisins du sahel.

1 commentaire

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Dongo

On ne peut que s’incliner devant la mémoire de tant de vie innocentes arrachées à notre affection. Et dire que le Burkina paie le prix de sa compromission. Quand ces rebelles se pavanaient à Ouaga et canardaient les maliens, les officiels burkinabés étaient aux anges. Contents de nous faire payer la « Guerre des Pauvres ». Bilal Ag Achérif après avoir massacré, tué et violé les enfants maliens à Gao à Fafa à Anderanboukane, il fut héliporté de Gao pour Ouaga pour des soins de première classe. Tout l’armement de ces rebelles venaient du Burkina. Ce même Burkina qui fournissait la logistique à ces rebelles pour nous exterminer. Il était content que les maliens se faisaient écrabouiller, le roi Mossi de Ouaga COMPAOURE. La roue de l’histoire tourne et elle continue de tourner. Ce n’est le souhait d’aucun malien, la réciproque n’est pas sûre. Que Dieu veille sur le Burkina et les Burkinabés.