Bénin – Communales 2020: Patrice Talon veut une compétition ouverte

 Le président de la République a convoqué le corps électoral pour le 17 mai 2019 dans le cadre des prochaines élections communales et municipales. Ainsi, dans 4 mois, les Béninois iront aux urnes pour choisir les conseillers communaux et municipaux. Selon le Porte-parole du Gouvernement, le président Patrice Talon souhaite vivement que cette compétition électorale soit ouverte à tous les partis politiques en règle.

Il n’y aura pas d’élections communales et municipales taxées d’exclusives. C’est ce qu’il convient de retenir des propos du ministre Alain Orounla qui rassure des dispositions prises pour aboutir à des élections ouvertes, transparentes et crédibles. « Le président de la République voudrait qu’il y a la plus grande participation de tous les acteurs en règle. Le président de la république est dans l’esprit d’une compétition la plus ouverte possible », rassure le Porte-parole du Gouvernement.

Selon le ministre de la Communication et de la Poste, porte-parole du Gouvernement, la première garantie que donne le chef de l’Etat est « la convocation du corps électoral à bonne date ».  En dehors de ctte décision, le président Patrice Talon prend des dispositions afin que les électeurs puissent librement participer aux élections communales et municipales. « Le président de la République prend toutes les préoccupations et dispositions afin que les citoyens puissent choisir librement et de manière éclairée ceux qu’ils destinent pour les représenter dans les différentes assemblées et différents postes de responsabilités. Je crois que c’est la meilleure des garanties, la transparence, la crédibilité », a-t-il martelé

Le président Patrice Talon s’active pour que ses soutiens soient les meilleurs

Selon le ministre Alain Orounla, le président de la République s’active pour que les partis politiques qui se réclament de son camp soient les meilleurs sur le terrain. Mais ces derniers ont aussi la responsabilité de se battre pour sortir vainqueurs face aux autres forces en place. Dans le cas contraire, le chef de la mouvance présidentielle prendra acte de leur échec. « Si ces formations politiques ne se prennent pas en charge et que c’est les adversaires qui gagnent, on en tiendra compte, on en prendra acte », a confié Alain Orounla.