Le développement de l’Afrique dépend de l’africain, Gbagbo et Kérékou l’avaient compris (Vidéo)
Depuis les indépendances, les pays africains ont été confrontés à beaucoup de difficultés liées au décollage de leur économie. Et cette difficulté perdure aujourd’hui mais cette fois avec l’aide des africains.
Dans les années 1960, plusieurs pays d’Afrique ont obtenu leur indépendance et ont quitté le joug du colon. Environ 60 années plus tard, ces mêmes pays continuent de chercher leurs marques à travers différents régimes, systèmes politiques et autres. Cependant pour la plupart ou presque tous, sont imbibés dans des systèmes corrompus et non patriotiques doublés d’une gestion catastrophique de dirigeants intellectuels à la solde exclusive de leurs formateurs européens et de leurs propres poches.
L’ancien président béninois Mathieu Kérékou l’avait compris quand il disait que « les intellectuels africains étaient tarés ». On comprend maintenant qu’il ne parlait pas de tares dans le sens de ce qu’ils ont appris à l’école mais dans le sens de son adaptation au service de leur pays. Kérékou parlait de leur façon de piller leur pays, de brader les ressources destinées à leur propre peuple, aux occidentaux.
De plus, l’ancien président de Côte d’Ivoire Laurent Gbagbo l’avait exprimé clarement pendant qu’il était encore aux affaires. Il avait fait savoir que faire de la politique ne devrait pas rendre riche et que le politicien qui s’est enrichi dans ce domaine, n’était rien d’autre qu’un voleur. Il va sans dire que ce n’est plus le colonisateur qui fait du mal à l’Afrique, mais le continent souffre de ses propres fils, ces intellectuels qui, depuis les indépendances refusent de passer la main.
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